Le projet de construction du point de débarquement aménagé de Yoro, qui intègre les quatorze accords paraphés par le gouvernement congolais et marocains, en présence du Roi et du président congolais, peu avant le lancement des travaux vise l’amélioration des conditions de travail et de vie des pêcheurs artisans, augmentation des performances de la pêche artisanale, organisation et encadrement de la profession, création de micro-pôle de développement, lutte contre la pauvreté et la précarité.
Fruit de la coopération entre le Royaume du Maroc et la République du Congo, l’ouvrage, dont les caractéristiques épouseraient la modernité, sera réalisé sur un terrain de 1,7 ha, avec une surface couverte de 2.250 m². Les travaux consisteront en la construction d’ouvrages de protection maritime et de superstructures liés aux activités de manutention, conditionnement, commercialisation et transformation des produits de la pêche artisanale, dont notamment une Halle au poisson pour la vente du produit halieutique débarqué, un espace de froid (chambre froide et fabrique de glace), des espaces socio-collectifs, des bureaux administratifs, 150 magasins de pêcheurs, des ateliers mécanique et de réparation des pirogues et une garderie d’enfants.
Infrastructure d’intérêt socio-économique, ce projet, à construire en 2 ans, l’ambition de la modernisation du port de Yoro est le redressement du secteur de la pêche artisanale, à travers l’organisation et l’encadrement de la profession, la valorisation et l'amélioration de la qualité du produit, et la promotion des conditions de vie et de travail des pêcheurs artisans (environ 500 marins pêcheurs, 600 femmes mareyeuses-grossistes et 3.000 femmes mareyeuses-détaillantes).
L’importance de ce projet est considérable. Puisque le port qui sortira de terre en ces lieux contribuera à l’amélioration de la qualité du produit, la valorisation du produit de pêche, ainsi qu’il assurera la transparence des transactions commerciales et l’amélioration des revenus des bénéficiaires. Outre cela, les effets induits de l’aménagement de ce point de débarquement des produits de pêche sont la création de nouveaux postes d'emploi, la lutte contre la pauvreté, l’optimisation des performances économiques de la pêche artisanale, l'augmentation des revenus des bénéficiaires, ainsi que l'amélioration des conditions sanitaires et hygiéniques, l'objectif étant un développement humain, durable et intégré.
Preuve de la coopération Sud-Sud solide, agissante et solidaire, le port de Yoro en modernisation est le résultat du partenariat entre, d’une part, le ministère de l’Agriculture et de la Pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, le ministère de l’Economie et des Finances et l’Agence marocaine de coopération internationale, et de l’autre le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche et le ministère des finances et du budget de la République du Congo.
Le projet qui vient d’être mis en chantier traduit bien la détermination du Maroc d'accompagner le développement économique et social du Congo, dans le cadre d'un partenariat gagnant-gagnant, ainsi que sa volonté d'approfondir davantage ce type de coopération, au travers de la diversification et l'élargissement des partenaires. En somme, ici se concrétise l’engagement du Congo et du Maroc de mettre en œuvre d'instruments novateurs de partage d’expérience et d’expertise, de création de la richesse et d’une plus-value.
Fruit de la coopération entre le Royaume du Maroc et la République du Congo, l’ouvrage, dont les caractéristiques épouseraient la modernité, sera réalisé sur un terrain de 1,7 ha, avec une surface couverte de 2.250 m². Les travaux consisteront en la construction d’ouvrages de protection maritime et de superstructures liés aux activités de manutention, conditionnement, commercialisation et transformation des produits de la pêche artisanale, dont notamment une Halle au poisson pour la vente du produit halieutique débarqué, un espace de froid (chambre froide et fabrique de glace), des espaces socio-collectifs, des bureaux administratifs, 150 magasins de pêcheurs, des ateliers mécanique et de réparation des pirogues et une garderie d’enfants.
Infrastructure d’intérêt socio-économique, ce projet, à construire en 2 ans, l’ambition de la modernisation du port de Yoro est le redressement du secteur de la pêche artisanale, à travers l’organisation et l’encadrement de la profession, la valorisation et l'amélioration de la qualité du produit, et la promotion des conditions de vie et de travail des pêcheurs artisans (environ 500 marins pêcheurs, 600 femmes mareyeuses-grossistes et 3.000 femmes mareyeuses-détaillantes).
L’importance de ce projet est considérable. Puisque le port qui sortira de terre en ces lieux contribuera à l’amélioration de la qualité du produit, la valorisation du produit de pêche, ainsi qu’il assurera la transparence des transactions commerciales et l’amélioration des revenus des bénéficiaires. Outre cela, les effets induits de l’aménagement de ce point de débarquement des produits de pêche sont la création de nouveaux postes d'emploi, la lutte contre la pauvreté, l’optimisation des performances économiques de la pêche artisanale, l'augmentation des revenus des bénéficiaires, ainsi que l'amélioration des conditions sanitaires et hygiéniques, l'objectif étant un développement humain, durable et intégré.
Preuve de la coopération Sud-Sud solide, agissante et solidaire, le port de Yoro en modernisation est le résultat du partenariat entre, d’une part, le ministère de l’Agriculture et de la Pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, le ministère de l’Economie et des Finances et l’Agence marocaine de coopération internationale, et de l’autre le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche et le ministère des finances et du budget de la République du Congo.
Le projet qui vient d’être mis en chantier traduit bien la détermination du Maroc d'accompagner le développement économique et social du Congo, dans le cadre d'un partenariat gagnant-gagnant, ainsi que sa volonté d'approfondir davantage ce type de coopération, au travers de la diversification et l'élargissement des partenaires. En somme, ici se concrétise l’engagement du Congo et du Maroc de mettre en œuvre d'instruments novateurs de partage d’expérience et d’expertise, de création de la richesse et d’une plus-value.