Ramtane Lamamra et jean Claude Gakosso
L’axe Brazzaville-Alger se porte bien. Il se solidifie et se redynamise chaque jour. La nouvelle visite de travail du ministre Jean Claude Gakosso, la deuxième en un mois, est une preuve supplémentaire de cette redynamisation. Au cours son séjour algérois, le ministre des affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l’étranger a été reçu par son homologue algérien, le ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale, Ramtane Lamamra.
Les deux hommes d’Etat ont évoqué les relations de coopération entre les deux pays, passant ainsi en revue les différents volets de la coopération bilatérale, du développement des relations économiques à la tenue de la grande commission mixte entre le Congo et l’Algérie, ils n’ont presque rien oublié. Ils ont aussi et surtout évoqué la prochaine visite de travail qu’effectuera le chef de l’Etat congolais, Denis SASSOU NGUESSO en Algérie.
Les préparatifs de cette prochaine visite, ont également figuré au menu des échanges entre le premier ministre algérien, Abdoul Melek Sellal et Jean Claude Gakosso qui lui a transmis le message écrit du président Denis Sassou N’Guesso a son homologue et ami, Abdlaziz Buteflika.
Avec Abdelkader Messahel, ministre algérien des affaires maghrébines, de l’Union Africaine et de la ligue des Etats arabes, Jean Claude Gakosso a essentiellement échangé sur la crise libyenne dont le Congo préside le comité de haut niveau de l’Union Africaine. Jean Claude Gakosso et Abdelkader Messahel saisi cette opportunité pour s’échanger des informations sur le dossier libyen.
Dans une interview à la presse, Jean-Claude Gakosso a déclaré que son homologue algérien, Ramtane Lamamra et lui ont «reçu des instructions des [leur] deux chefs d’Etats de raviver cette relation très ancienne entre Alger et Brazzaville. En perspective, il y’a la visite qu’effectuera son Excellence monsieur Denis Sassou N’Guesso, ici en Algérie, auprès de son frère et ami son Excellence Abdelaziz Bouteflika ». Et de rassurer :« nous allons redonner une impulsion à notre coopération. Deux pays producteurs de pétrole, nous subissons de plein fouet les affres du marché pétrolier qui connait toutes les dérives que vous savez », a déclaré Jean Claude Gakosso qui a ajouté que « nous avons d’autres domaines de coopération. Le Congo est un pays de foret qui a un potentiel important».
Le ministre congolais des affaires étrangères a également affirmé qu’il a abordé avec son homologue algérien, les questions bilatérales et celles qui les préoccupent tous, « notamment celle de la Libye », ne rappelant que «Brazzaville avec le soutien de l’Algérie à organisé, il y a deux semaines, un sommet sur le comité de haut niveau sur la Libye ». Pour lui, « l’Algérie a beaucoup fait, elle a reçu ici les principaux protagonistes de cette crise libyenne, tous les représentants des forces en présence. Nous avons besoin de l’expertise algérien pour aller plus loin dans ce dossier, dont le président de la république Denis Sassou N’Guesso a aujourd’hui une part de responsabilité. Nous avons également abordé les questions liées à l’Union africaine. Nous avons salué de la nouvelle commission de l’UA. Le Congo a particulièrement soutenu la réélection de l’algérien Smail Chergui ».
Comme on le voit, Congo et l’Algérie sont en train de redonner une nouvelle impulsion à leur coopération très ancienne. L’Algérie offre au Congo des possibilités de coopérations immenses. Ce pays francophone, rappelons-le, fait bénéficier tous azimuts des formations aux cadres congolais, dont le premier citoyen, Denis Sassou N’Guesso.
Les deux hommes d’Etat ont évoqué les relations de coopération entre les deux pays, passant ainsi en revue les différents volets de la coopération bilatérale, du développement des relations économiques à la tenue de la grande commission mixte entre le Congo et l’Algérie, ils n’ont presque rien oublié. Ils ont aussi et surtout évoqué la prochaine visite de travail qu’effectuera le chef de l’Etat congolais, Denis SASSOU NGUESSO en Algérie.
Les préparatifs de cette prochaine visite, ont également figuré au menu des échanges entre le premier ministre algérien, Abdoul Melek Sellal et Jean Claude Gakosso qui lui a transmis le message écrit du président Denis Sassou N’Guesso a son homologue et ami, Abdlaziz Buteflika.
Avec Abdelkader Messahel, ministre algérien des affaires maghrébines, de l’Union Africaine et de la ligue des Etats arabes, Jean Claude Gakosso a essentiellement échangé sur la crise libyenne dont le Congo préside le comité de haut niveau de l’Union Africaine. Jean Claude Gakosso et Abdelkader Messahel saisi cette opportunité pour s’échanger des informations sur le dossier libyen.
Dans une interview à la presse, Jean-Claude Gakosso a déclaré que son homologue algérien, Ramtane Lamamra et lui ont «reçu des instructions des [leur] deux chefs d’Etats de raviver cette relation très ancienne entre Alger et Brazzaville. En perspective, il y’a la visite qu’effectuera son Excellence monsieur Denis Sassou N’Guesso, ici en Algérie, auprès de son frère et ami son Excellence Abdelaziz Bouteflika ». Et de rassurer :« nous allons redonner une impulsion à notre coopération. Deux pays producteurs de pétrole, nous subissons de plein fouet les affres du marché pétrolier qui connait toutes les dérives que vous savez », a déclaré Jean Claude Gakosso qui a ajouté que « nous avons d’autres domaines de coopération. Le Congo est un pays de foret qui a un potentiel important».
Le ministre congolais des affaires étrangères a également affirmé qu’il a abordé avec son homologue algérien, les questions bilatérales et celles qui les préoccupent tous, « notamment celle de la Libye », ne rappelant que «Brazzaville avec le soutien de l’Algérie à organisé, il y a deux semaines, un sommet sur le comité de haut niveau sur la Libye ». Pour lui, « l’Algérie a beaucoup fait, elle a reçu ici les principaux protagonistes de cette crise libyenne, tous les représentants des forces en présence. Nous avons besoin de l’expertise algérien pour aller plus loin dans ce dossier, dont le président de la république Denis Sassou N’Guesso a aujourd’hui une part de responsabilité. Nous avons également abordé les questions liées à l’Union africaine. Nous avons salué de la nouvelle commission de l’UA. Le Congo a particulièrement soutenu la réélection de l’algérien Smail Chergui ».
Comme on le voit, Congo et l’Algérie sont en train de redonner une nouvelle impulsion à leur coopération très ancienne. L’Algérie offre au Congo des possibilités de coopérations immenses. Ce pays francophone, rappelons-le, fait bénéficier tous azimuts des formations aux cadres congolais, dont le premier citoyen, Denis Sassou N’Guesso.