Coopération bilatérale: le Congo et l'Arabie Saoudite déterminés à accroître leurs investissements dans le commerce.
Selon le chef de la diplomatie saoudienne , son échange avec le président de la République a porté sur beaucoup de domaines de la coopération. « Nous avons beaucoup de domaines de coopération entre nos deux pays », a déclaré réjoui Adel Ben Ahmed al-Joubeir, à sa sortie d’audience, avant d’ajouter : «nous avons discuté sur beaucoup des sujets, notamment la politique, la sécurité et la stabilité... ». Il s’est aussi réjoui des « bonnes perspectives » qui caractérisent la coopération bilatérale entre le Congo et l’Arabie saoudite. Adel Ben Ahmed al-Joubeir a souligné que le Congo et l’Arabie Saoudite peuvent œuvrer ensemble dans le secteur pétrolier et « accroître des investissements dans le domaine du commerce » au bénéfice des deux Etats.
« Nous avons aussi évoqué comment nous pouvons travailler ensemble dans le domaine pétrolier en tant que pays producteurs de pétrole, mais aussi en tant que pays consommateurs… Enfin, nous avons aussi évoqué la possibilité d'accroître le dialogue politique entre nos deux pays ».
L’entretien avec le chef de l’Etat congolais a également porté sur des sujets d’ordre régional et international. « Nous avons convenus de travailler conjointement pour trouver des solutions, notamment, en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme qui est une menace pour les pays du sahel, mais aussi pour l'Afrique en général», a fait savoir Adel Ben Ahmed al-Joubeir. « Nous avons aussi parlé de sécurité, afin de trouver une manière de lutter plus efficacement contre le terrorisme et les extrémistes »n a-t-il poursuivi.
Pour lui, les autorités saoudiennes ont contribué à hauteur de cent millions d’euros pour soutenir les opérations des pays du sahel aussi bien sur le plan logistique que militaire et du soutien aérien. « … la lutte contre le terrorisme passe par la lutte idéologique contre ces groupuscules. Nous devons informer les jeunes pour leur dire que la version que ces groupes donnent de l’islam n’est pas la bonne version », a précisé le chef de la diplomatie saoudienne qui a estimé qu’il est important de « redonner l’espoir à cette couche de la population pour qu’elle se détourne de l’émigration ».
« La solution à ces différents problèmes passe aussi par la stabilisation de la situation en Libye », selon Adel Ben Ahmed al-Joubeir qui a déclaré avoir émis avec Denis Sassou N’Guesso, « le souhait de réunir nos envoyés spéciaux – celui du Congo, de l’Europe et de notre pays – afin de conjuguer des efforts pour trouver une solution » à la crise libyenne pour que ce pays renouer avec une vie normale et dispose d’un gouvernement « stable» au terme des prochaines élections.
« Nous avons aussi évoqué comment nous pouvons travailler ensemble dans le domaine pétrolier en tant que pays producteurs de pétrole, mais aussi en tant que pays consommateurs… Enfin, nous avons aussi évoqué la possibilité d'accroître le dialogue politique entre nos deux pays ».
L’entretien avec le chef de l’Etat congolais a également porté sur des sujets d’ordre régional et international. « Nous avons convenus de travailler conjointement pour trouver des solutions, notamment, en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme qui est une menace pour les pays du sahel, mais aussi pour l'Afrique en général», a fait savoir Adel Ben Ahmed al-Joubeir. « Nous avons aussi parlé de sécurité, afin de trouver une manière de lutter plus efficacement contre le terrorisme et les extrémistes »n a-t-il poursuivi.
Pour lui, les autorités saoudiennes ont contribué à hauteur de cent millions d’euros pour soutenir les opérations des pays du sahel aussi bien sur le plan logistique que militaire et du soutien aérien. « … la lutte contre le terrorisme passe par la lutte idéologique contre ces groupuscules. Nous devons informer les jeunes pour leur dire que la version que ces groupes donnent de l’islam n’est pas la bonne version », a précisé le chef de la diplomatie saoudienne qui a estimé qu’il est important de « redonner l’espoir à cette couche de la population pour qu’elle se détourne de l’émigration ».
« La solution à ces différents problèmes passe aussi par la stabilisation de la situation en Libye », selon Adel Ben Ahmed al-Joubeir qui a déclaré avoir émis avec Denis Sassou N’Guesso, « le souhait de réunir nos envoyés spéciaux – celui du Congo, de l’Europe et de notre pays – afin de conjuguer des efforts pour trouver une solution » à la crise libyenne pour que ce pays renouer avec une vie normale et dispose d’un gouvernement « stable» au terme des prochaines élections.