Le Bureau exécutif national des enseignants du supérieur et des Chercheurs (Ben-Cnec), par la voix de son secrétaire général, Pr N’Guessan Kouamé condamne avec fermeté « les menaces, le chantage et la mesure arbitraire de mise sous contrôle du salaire de ses camarades syndicalistes de l’université de F.H.B. de Cocody, par le président, Pr Abou Karamoko ».
Dans une déclaration produite le 5 octobre 2018, dont Alwihdainfo a reçu copie ce lundi 8 octobre, le Ben-Cnec a, en outre dénoncé « la Gouvernance chaotique du Dghh Pr Valy Sidibé (Dg, ndlr) à l’Ecole normale supérieure (Ens) d’Abidjan et de Prof. Adama Coulibaly (président, ndlr) à l’Université Péléforo Gbon Coulibaly de Korhogo ».
Selon le Sg du Ben-Cnec, cette mauvaise gouvernance est caractérisée par : « le mépris des enseignants-chercheurs, l’abus de pouvoir ou d’autorité, la mauvaise maîtrise des dossiers. Puis, l’incapacité à mener un dialogue social et à bien gérer les ressources humaines. Et enfin, l’absence d’un projet de gouvernance innovant et lisible ».
Il a par ailleurs demandé au gouvernement entre autres, le vote du projet de loi sur l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique, adopté à l’unanimité en avant-projet de loi, au cours du séminaire de Yamoussoukro de mai 2018.
Ensuite, à fixer des obligations de résultats aux présidents des universités, ainsi qu’aux directeurs généraux de grandes écoles, encore fonctionnaires. Ceci, « en conformité avec l’article.63 de la loi n°95-696 du 07 septembre 1995 relative à l’enseignement et l’article 1er alinéa 5 de la loi n°98-388 du 2 juillet 1998 relative aux établissements publics nationaux (Epn) », a-t-il indiqué.
Dans une déclaration produite le 5 octobre 2018, dont Alwihdainfo a reçu copie ce lundi 8 octobre, le Ben-Cnec a, en outre dénoncé « la Gouvernance chaotique du Dghh Pr Valy Sidibé (Dg, ndlr) à l’Ecole normale supérieure (Ens) d’Abidjan et de Prof. Adama Coulibaly (président, ndlr) à l’Université Péléforo Gbon Coulibaly de Korhogo ».
Selon le Sg du Ben-Cnec, cette mauvaise gouvernance est caractérisée par : « le mépris des enseignants-chercheurs, l’abus de pouvoir ou d’autorité, la mauvaise maîtrise des dossiers. Puis, l’incapacité à mener un dialogue social et à bien gérer les ressources humaines. Et enfin, l’absence d’un projet de gouvernance innovant et lisible ».
Il a par ailleurs demandé au gouvernement entre autres, le vote du projet de loi sur l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique, adopté à l’unanimité en avant-projet de loi, au cours du séminaire de Yamoussoukro de mai 2018.
Ensuite, à fixer des obligations de résultats aux présidents des universités, ainsi qu’aux directeurs généraux de grandes écoles, encore fonctionnaires. Ceci, « en conformité avec l’article.63 de la loi n°95-696 du 07 septembre 1995 relative à l’enseignement et l’article 1er alinéa 5 de la loi n°98-388 du 2 juillet 1998 relative aux établissements publics nationaux (Epn) », a-t-il indiqué.