Le ton est monté d’un cran entre le pourvoir et l’opposition ivoirienne au sujet du projet de la nouvelle constitution qui sera soumis à l’examen des députés mercredi.
Ainsi, pour marquer son opposition face à l’adoption de cette nouvelle loi fondamentale jugée « pas bon pour la démocratie » par l’ensemble de l’opposition ivoirienne, celle-ci a décidé d’organiser un sit-in le mercredi 5 octobre devant le parlement. Cette marche n’est pas autorisée par les autorités, en l’occurrence, le préfet d’Abidjan Sidiki Diakité, qui a produit un communiqué relayé sur les réseaux sociaux.
Les principaux leaders de l’opposition, Pascal Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (Fpi), le parti de l’ex-Président de la République Laurent Gbagbo détenu à la Cpi et le président du parti Liberté et démocratie (Lider) de l’ex-président du parlement, Mamadou Coulibaly tiennent à maintenir cette manifestation qui selon eux est « pacifique ».
Ainsi, pour marquer son opposition face à l’adoption de cette nouvelle loi fondamentale jugée « pas bon pour la démocratie » par l’ensemble de l’opposition ivoirienne, celle-ci a décidé d’organiser un sit-in le mercredi 5 octobre devant le parlement. Cette marche n’est pas autorisée par les autorités, en l’occurrence, le préfet d’Abidjan Sidiki Diakité, qui a produit un communiqué relayé sur les réseaux sociaux.
Les principaux leaders de l’opposition, Pascal Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (Fpi), le parti de l’ex-Président de la République Laurent Gbagbo détenu à la Cpi et le président du parti Liberté et démocratie (Lider) de l’ex-président du parlement, Mamadou Coulibaly tiennent à maintenir cette manifestation qui selon eux est « pacifique ».