Côte d’Ivoire : Mandat d’arrêt international contre Guillaume Soro / Les autorités ivoiriennes souhaitent un règlement diplomatique
Les autorités de Côte d’Ivoire souhaitent un règlement diplomatique dans le cadre du mandat d’arrêt international émis par le Burkina Faso contre le président de l’assemblée nationale ivoirienne.
Par un communiqué laconique rendu public lundi soir, la Présidence de la République de Côte d’Ivoire, s’est étonné que ce document qui vise le numéro deux du pays ait été émis « au mépris des règles et des us et coutumes en la matière ».
En conséquence, elle opte un règlement par la voie diplomatique, au regard « des liens séculaires d'amitié et de fraternité qui unissent les deux pays et les deux peuples, afin d’éviter tout différend entre les deux États ».
Rappelons que la justice burkinabè soupçonne Soro Guillaume d’être impliqué dans le putsch manqué du 17 septembre 2015 contre les autorités de la transition. Ce soupçon est lié aux enregistrements téléphoniques entre lui et Djibril Bassolé, ancien ministre des Affaires étrangères sous l’ex-Président Compaoré.
Par un communiqué laconique rendu public lundi soir, la Présidence de la République de Côte d’Ivoire, s’est étonné que ce document qui vise le numéro deux du pays ait été émis « au mépris des règles et des us et coutumes en la matière ».
En conséquence, elle opte un règlement par la voie diplomatique, au regard « des liens séculaires d'amitié et de fraternité qui unissent les deux pays et les deux peuples, afin d’éviter tout différend entre les deux États ».
Rappelons que la justice burkinabè soupçonne Soro Guillaume d’être impliqué dans le putsch manqué du 17 septembre 2015 contre les autorités de la transition. Ce soupçon est lié aux enregistrements téléphoniques entre lui et Djibril Bassolé, ancien ministre des Affaires étrangères sous l’ex-Président Compaoré.