Donner la capacité nécessaire à tous les acteurs impliqués dans le fonctionnement du point d’information sur la facilitation des échanges, en vue de rendre disponible et accessible l’information sur la règlementation commerciale. Renforcer les compétences des participants en matière d’animation d’une cellule de veille, d’identification et de recherche d’information.
Tel est l’objectif du séminaire de formation sur la veille et la collecte d’information, pour l’opérationnalisation de la cellule de gestion du Portail web d’information commerciale (Pwic). Qui est organisé par le projet Leadership in public financial management II (Lpfm II), financé par l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), en coordination avec le Comité national de facilitation des échanges (Cnfe) de la Côte d’Ivoire.
Ce séminaire qui s’inscrit dans la mission du projet Lpfm II pour la facilitation de la mise en œuvre effective de l’Accord sur la facilitation des échanges (Afe) en Côte d’Ivoire, s’est tenu du 29 au 31 août 2018, dans la station balnéaire de Grand-Bassam, sise à une quarantaine de kilomètre d’Abidjan.
Selon le directeur pays du projet Lpfm II, Félix Kouakou, il s’est agit au cours des travaux de permettre aux membres de ladite cellule, ainsi qu’aux points focaux relevant des structures privées et des institutions gouvernementales, de s’approprier leur rôle en tant qu’ambassadeurs au sein de leur institution respective. Ce, afin d’assurer la continuité et la pérennité du système en place.
De façon concrète, il s’est agit de voir comment les membres de la cellule de gestion et les points focaux vont collaborer pour mieux travailler. De sorte à créer une certaine synergie utile à répondre aux questions, a assuré pour sa part, le consultant commis pour la formation, Dr Thomas Orliac, économiste, spécialiste des questions de facilitation des échanges.
Mieux a-t-il signifié : « Les membres de la cellule auront pour rôle de regarder sur le site Internet (Pwic). Ils devront s’assurer de la mise à jour de l’information, voir comment interagir les uns les autres. Puis, répondre directement aux questions des opérateurs, ou bien, contacter par elle-même, les différents points focaux qui pourront rechercher l’information dans leur administration respective ».
« L’idée est de faciliter la vie des usagers aussi bien en Côte d’Ivoire, que des entreprises du monde, afin que ceux-ci, puissent être au courant des dernières réglementations en vigueur », a relevé le formateur. Avant de préciser que la cellule est composée des membres issus de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-CI) et du ministère du Commerce, avec pour siège, au sein de la première institution citée.
Signalons que pour favoriser la mise en contact des membres de la cellule de gestion du Pwic et des points focaux, ce séminaire de Grand-Bassam s’est déroulé dans une ambiance particulière. Avec des séances de ‘’Team Building’’ (séances de récréations physiques et sportives constructives), en vue « d’aider les participants à créer la symbiose, la sympathie, la familiarité,…, en leur sein », a indiqué le coach Adama Gohourou du cabinet A+, spécialisé dans l’accompagnement des cadres et dirigeants en matière de leadership.
Il a souligné : « Le coaching permet aux participants à mieux se connaître, à créer un esprit collectif indépendamment des rangs et titres, à travailler ensemble dans une franche et utile collaboration, en vue d’atteindre les objectifs assignés ».
Tel est l’objectif du séminaire de formation sur la veille et la collecte d’information, pour l’opérationnalisation de la cellule de gestion du Portail web d’information commerciale (Pwic). Qui est organisé par le projet Leadership in public financial management II (Lpfm II), financé par l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), en coordination avec le Comité national de facilitation des échanges (Cnfe) de la Côte d’Ivoire.
Ce séminaire qui s’inscrit dans la mission du projet Lpfm II pour la facilitation de la mise en œuvre effective de l’Accord sur la facilitation des échanges (Afe) en Côte d’Ivoire, s’est tenu du 29 au 31 août 2018, dans la station balnéaire de Grand-Bassam, sise à une quarantaine de kilomètre d’Abidjan.
Selon le directeur pays du projet Lpfm II, Félix Kouakou, il s’est agit au cours des travaux de permettre aux membres de ladite cellule, ainsi qu’aux points focaux relevant des structures privées et des institutions gouvernementales, de s’approprier leur rôle en tant qu’ambassadeurs au sein de leur institution respective. Ce, afin d’assurer la continuité et la pérennité du système en place.
De façon concrète, il s’est agit de voir comment les membres de la cellule de gestion et les points focaux vont collaborer pour mieux travailler. De sorte à créer une certaine synergie utile à répondre aux questions, a assuré pour sa part, le consultant commis pour la formation, Dr Thomas Orliac, économiste, spécialiste des questions de facilitation des échanges.
Mieux a-t-il signifié : « Les membres de la cellule auront pour rôle de regarder sur le site Internet (Pwic). Ils devront s’assurer de la mise à jour de l’information, voir comment interagir les uns les autres. Puis, répondre directement aux questions des opérateurs, ou bien, contacter par elle-même, les différents points focaux qui pourront rechercher l’information dans leur administration respective ».
« L’idée est de faciliter la vie des usagers aussi bien en Côte d’Ivoire, que des entreprises du monde, afin que ceux-ci, puissent être au courant des dernières réglementations en vigueur », a relevé le formateur. Avant de préciser que la cellule est composée des membres issus de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-CI) et du ministère du Commerce, avec pour siège, au sein de la première institution citée.
Signalons que pour favoriser la mise en contact des membres de la cellule de gestion du Pwic et des points focaux, ce séminaire de Grand-Bassam s’est déroulé dans une ambiance particulière. Avec des séances de ‘’Team Building’’ (séances de récréations physiques et sportives constructives), en vue « d’aider les participants à créer la symbiose, la sympathie, la familiarité,…, en leur sein », a indiqué le coach Adama Gohourou du cabinet A+, spécialisé dans l’accompagnement des cadres et dirigeants en matière de leadership.
Il a souligné : « Le coaching permet aux participants à mieux se connaître, à créer un esprit collectif indépendamment des rangs et titres, à travailler ensemble dans une franche et utile collaboration, en vue d’atteindre les objectifs assignés ».