Le Lions Club Abidjan Colombe s’engage à apporter sa contribution à la préservation et la restauration des forêts en Côte d’Ivoire. Et cela s’est traduit par l’organisation d’une randonnée pédestre dans le parc national du Banco à Abidjan. Qui a pris la forme d’une incursion dans ce ‘’poumon vert’’ de la capitale économique ivoirienne, le 21 avril.
Selon la présidente dudit Club service, Carine Kouakou, « cette activité qui s’inscrit dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de la terre, qui a lieu le 22 avril, vise à sensibiliser les populations à une prise de conscience et à la protection de l’environnement ».
« Elle répond à l’une des cinq actions prioritaires définies par le Lions Club international, dans le cadre de son centenaire. Notamment, le volet protection de l’environnement », a-t-elle signifié.
Avant de préciser : « Notre message est que chaque citoyen, chaque habitant comprenne l’importance des forêts et des arbres, indispensables à la survie de l’humanité. C’est notre manière à nous de contribuer à ce que les villes de Côte d’Ivoire en général et Abidjan particulièrement deviennent des cités vertes ».
Ainsi, bien avant l’entame de cette randonnée de 5 kilomètres, les marcheurs-sportifs ont été préalablement soumis à une séance de fitness. Plus exactement à des étirements durant une quinzaine de minute, sous la conduite de l’adjudant des Eaux et forêts, Koné Sigui. Selon lui : « Cela permet de préparer l’organisme, afin d’éviter des courbatures ».
Deux heures de marche environ ponctuée parfois d’explications ont suffit aux membres de ce club service et leurs invités d’atteindre l’espace détente et loisirs, sis au sein de cette aire protégée de 3474 hectares.
De là, les hôtes du parc national du Banco ont été instruits sur son rôle et son importance, à travers une conférence dite par le guide du jour, Michael Kacou, par ailleurs président de l’Ong « Vision verte ».
D’entrée, le conférencier a relevé que ce parc offre à la ville d’Abidjan et certaines localités environnantes, 35 000 tonnes d’oxygène par jour et récupère la même quantité en dioxyde de carbone (Co2). Puis a-t-il indiqué qu’il a un sol humide, hydromorphe avec un taux d’infiltration d’eau élevée. « Ce qui permet d’alimenter la nappe phréatique qui approvisionne 40% la ville d’Abidjan en eau potable », a-t-il précisé.
Il a en outre signifié que cette forêt primaire a un rôle de promotion de l’écotourisme, de l’éducation environnementale, de recherche scientifique, etc. Avant de souligner que contrairement aux forêts classées, les pars et réserves naturels ne sont jamais soumis à un quelconque reboisement, ni à une exploitation ou, à une coupe. « Un parc national est un patrimoine mondial. Si d’aventure elle doit fait l’objet d’une quelconque exploitation, l’assemblée nationale et même d’autres institutions doivent statuer », a-t-il expliqué.
S’agissant de ses fonctions, Michael Kacou a indiqué qu’il assure « la régulation de l’air et l’approvisionnement en eau potable de la ville d’Abidjan. De même que le maintien de l’habitat naturel et de l’aspect culturel...».
En définitive, le conférencier a insisté pour dire que cette forêt dense et sempervirente, qui se trouve être aujourd’hui entourée de bâtisses est « un patrimoine à préserver et à valoriser pour le bien-être environnemental des abidjanais ». Il a en outre salué cette action du Lions club Abidjan Colombe qui d’après lui, doit faire école.
Il faut signaler qu’en raison de l’insuffisance de pluviométrie ces derniers temps, la séance de planting d’arbre prévue à cette occasion dans la forêt classée d’Anguededou à Yopougon, route de Dabou, a été reporté sine die.
Selon la présidente dudit Club service, Carine Kouakou, « cette activité qui s’inscrit dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de la terre, qui a lieu le 22 avril, vise à sensibiliser les populations à une prise de conscience et à la protection de l’environnement ».
« Elle répond à l’une des cinq actions prioritaires définies par le Lions Club international, dans le cadre de son centenaire. Notamment, le volet protection de l’environnement », a-t-elle signifié.
Avant de préciser : « Notre message est que chaque citoyen, chaque habitant comprenne l’importance des forêts et des arbres, indispensables à la survie de l’humanité. C’est notre manière à nous de contribuer à ce que les villes de Côte d’Ivoire en général et Abidjan particulièrement deviennent des cités vertes ».
Ainsi, bien avant l’entame de cette randonnée de 5 kilomètres, les marcheurs-sportifs ont été préalablement soumis à une séance de fitness. Plus exactement à des étirements durant une quinzaine de minute, sous la conduite de l’adjudant des Eaux et forêts, Koné Sigui. Selon lui : « Cela permet de préparer l’organisme, afin d’éviter des courbatures ».
Deux heures de marche environ ponctuée parfois d’explications ont suffit aux membres de ce club service et leurs invités d’atteindre l’espace détente et loisirs, sis au sein de cette aire protégée de 3474 hectares.
De là, les hôtes du parc national du Banco ont été instruits sur son rôle et son importance, à travers une conférence dite par le guide du jour, Michael Kacou, par ailleurs président de l’Ong « Vision verte ».
D’entrée, le conférencier a relevé que ce parc offre à la ville d’Abidjan et certaines localités environnantes, 35 000 tonnes d’oxygène par jour et récupère la même quantité en dioxyde de carbone (Co2). Puis a-t-il indiqué qu’il a un sol humide, hydromorphe avec un taux d’infiltration d’eau élevée. « Ce qui permet d’alimenter la nappe phréatique qui approvisionne 40% la ville d’Abidjan en eau potable », a-t-il précisé.
Il a en outre signifié que cette forêt primaire a un rôle de promotion de l’écotourisme, de l’éducation environnementale, de recherche scientifique, etc. Avant de souligner que contrairement aux forêts classées, les pars et réserves naturels ne sont jamais soumis à un quelconque reboisement, ni à une exploitation ou, à une coupe. « Un parc national est un patrimoine mondial. Si d’aventure elle doit fait l’objet d’une quelconque exploitation, l’assemblée nationale et même d’autres institutions doivent statuer », a-t-il expliqué.
S’agissant de ses fonctions, Michael Kacou a indiqué qu’il assure « la régulation de l’air et l’approvisionnement en eau potable de la ville d’Abidjan. De même que le maintien de l’habitat naturel et de l’aspect culturel...».
En définitive, le conférencier a insisté pour dire que cette forêt dense et sempervirente, qui se trouve être aujourd’hui entourée de bâtisses est « un patrimoine à préserver et à valoriser pour le bien-être environnemental des abidjanais ». Il a en outre salué cette action du Lions club Abidjan Colombe qui d’après lui, doit faire école.
Il faut signaler qu’en raison de l’insuffisance de pluviométrie ces derniers temps, la séance de planting d’arbre prévue à cette occasion dans la forêt classée d’Anguededou à Yopougon, route de Dabou, a été reporté sine die.