La décision du groupe de contact s’inscrit dans le droit fil des conclusions de la conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine en 2018, selon le communiqué final de cette réunion initiée par le président du comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye, le congolais Denis Sassou-N’Guesso.
A l’ouverture de travaux, le chef de l’Etat congolais a souligné que la tenue de la conférence la conférence de réconciliation inter-libyenne est un défi pour l’Union africaine. « Le défi pour l’UA est d’organiser la conférence de réconciliation nationale inter-libyenne inclusive », a déclaré Denis Sassou-N’Guesso.
La réunion d’Oyo constitue, selon lui, un tournant dans le processus de restauration de la paix et la sécurité en Libye. C’est l’occasion d’« adresser un message sans équivoque », a déclaré Denis Sassou N’Guesso, sur la mise en place de la commission préparatoire de cette conférence de réconciliation, une instance dont la composition doit être équitable, « ...chaque acteur concerné, y compris les chefs des tribus et des villes, les femmes et les jeunes, devant se reconnaître dans cet organe, levier incontournable de la renaissance libyenne », a-t-il martelé. Le fondamental, a-t-il ajouté, est d’avoir le respect de la parole donnée et des engagements pris.
Le président congolais a réitéré « l’engagement du Comité de haut niveau à appliquer la feuille de route sur la Libye avec pour objectif principal la tenue de la conférence de réconciliation inter-libyenne inclusive ». Pour Denis Sassou N’Guesso, « l’Afrique doit toujours parler d’une seule voix ». Il a salué la synergie d’action entre l’ONU et l’Union Africaine, les efforts de l’Union européenne.
Au cours de cette réunion, les membres du groupe de contact ont, notamment, examiné « le mode de désignation des membres de la Commission préparatoire » et identifié les sources de financement du budget de cette commission. C’est ainsi que le chef de l’Etat congolais a lancé un appel aux partenaires techniques et financiers, notamment aux Nations Unies pour la réalisation de toutes ces missions.
Le groupe de contact, créé par la dernière conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union africaine en février dernier, est présidé par la République du Congo et comprend, entre autres, les membres du Comité de Haut niveau de l’Union africaine sur la Libye.
A l’ouverture de travaux, le chef de l’Etat congolais a souligné que la tenue de la conférence la conférence de réconciliation inter-libyenne est un défi pour l’Union africaine. « Le défi pour l’UA est d’organiser la conférence de réconciliation nationale inter-libyenne inclusive », a déclaré Denis Sassou-N’Guesso.
La réunion d’Oyo constitue, selon lui, un tournant dans le processus de restauration de la paix et la sécurité en Libye. C’est l’occasion d’« adresser un message sans équivoque », a déclaré Denis Sassou N’Guesso, sur la mise en place de la commission préparatoire de cette conférence de réconciliation, une instance dont la composition doit être équitable, « ...chaque acteur concerné, y compris les chefs des tribus et des villes, les femmes et les jeunes, devant se reconnaître dans cet organe, levier incontournable de la renaissance libyenne », a-t-il martelé. Le fondamental, a-t-il ajouté, est d’avoir le respect de la parole donnée et des engagements pris.
Le président congolais a réitéré « l’engagement du Comité de haut niveau à appliquer la feuille de route sur la Libye avec pour objectif principal la tenue de la conférence de réconciliation inter-libyenne inclusive ». Pour Denis Sassou N’Guesso, « l’Afrique doit toujours parler d’une seule voix ». Il a salué la synergie d’action entre l’ONU et l’Union Africaine, les efforts de l’Union européenne.
Au cours de cette réunion, les membres du groupe de contact ont, notamment, examiné « le mode de désignation des membres de la Commission préparatoire » et identifié les sources de financement du budget de cette commission. C’est ainsi que le chef de l’Etat congolais a lancé un appel aux partenaires techniques et financiers, notamment aux Nations Unies pour la réalisation de toutes ces missions.
Le groupe de contact, créé par la dernière conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union africaine en février dernier, est présidé par la République du Congo et comprend, entre autres, les membres du Comité de Haut niveau de l’Union africaine sur la Libye.