Un nouveau rapport des Nations Unies révèle vendredi que l'attaque menée par le gouvernement, qui avait tué 33 civils et fait 108 blessés, dans un camp de déplacés au Darfour le 25 août dernier, était contraire au droit international.
Les forces de sécurité avaient en effet usé de la force de façon « inutile et disproportionnée », indique le bureau du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) et l'Opération hybride UA-ONU au Darfour (MINUAD).
Les forces soudanaises recherchaient des armes dans le camp de Kalma lorsqu'elles ont été confrontées par une foule cherchant à les empêcher d'entrer, à la suite de quoi les tirs en l'air ont précédé des tirs sur la foule. Parmi les 33 morts figurent 14 hommes, 10 femmes et 10 enfants. Les blessés comprennent 38 enfants et 25 femmes.
Les témoins ont fait part du caractère arbitraire de ces tirs, alors que la foule ne posait pas de menace imminente et réelle à l'armée soudanaise.
Les forces de sécurité avaient en effet usé de la force de façon « inutile et disproportionnée », indique le bureau du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) et l'Opération hybride UA-ONU au Darfour (MINUAD).
Les forces soudanaises recherchaient des armes dans le camp de Kalma lorsqu'elles ont été confrontées par une foule cherchant à les empêcher d'entrer, à la suite de quoi les tirs en l'air ont précédé des tirs sur la foule. Parmi les 33 morts figurent 14 hommes, 10 femmes et 10 enfants. Les blessés comprennent 38 enfants et 25 femmes.
Les témoins ont fait part du caractère arbitraire de ces tirs, alors que la foule ne posait pas de menace imminente et réelle à l'armée soudanaise.