Stylo à la main, face à lui plusieurs intellectuels, étudiants, politiques, hommes d’affaires et bien d’autres, Denis Christel Sassou NGuesso a dédicacé l’ouvrage qu’il vient de mettre sur le marché, tout en faisant accompagner chacun d’eux d’un exemplaire du livre, afin de poursuivre cette réflexion.
« Ce que je crois », un opuscule de 62 pages que chaque congolais peut désormais lire, est appréhendé comme l’engagement de Denis Christel Sassou NGuesso d’agir et de donner des perspectives d’espoir en faveur du Congo de demain.
Interrogé par la presse, Denis Christel Sassou NGuesso a fait une présentation de sa production artistique. « Cet ouvrage est un recueil d’un ensemble des thématiques sur lesquelles j’ai réfléchi et qui touchent de plein fouet notre pays, le Congo. » soutenait-il au micro de presse, tout en présentant le contenu du livre : « Nous évoquons les questions d’éducation, de l’employabilité des jeunes, de formation professionnelle et qualifiante, de la place et du rôle de la femme dans notre société que nous voulons moderne, de citoyenneté, des antivaleurs, qui sont au cœur du débat sociétal de notre pays. Nous y évoquons, également les questions du repli identitaire. »
A la vérité, l’auteur expose, à travers ses écrits des ébauches de réponses aux préoccupations et défis de l’heure. « En réalité l’approche qui était la mienne est celle de faire en sorte que l’ensemble des préoccupations, qui peuvent être celles de nos compatriotes, soit relevé dans cet opuscule et nous essayons d’apporter des ébauches des réponses qui, bien sûr, ne sont exhaustives, mais il faut commencer quelque part. » renchérissait Denis Christel Sassou NGuesso.
Pour lui, ce qui appartient au domaine du possible ne peut avoir qu’une base, le développement du capital humain, un préalable à l’épanouissement et un moyen pour chaque individu de s’insérer dans la société avec une seule volonté, à savoir mieux vivre ensemble.
Sur la question de savoir si cet opuscule constituait une entrée en matière pour la prochaine élection du président de la République ou un document de persuasion des électeurs, Denis Christel Sassou NGuesso a signifié qu’il ne s’agit ni de l’un ni de l’autre. Puisque, pense-t-il un projet de société ne contient pas que les questions évoquées dans ce livre. On parle de défense, de sécurité, d’environnement…et Ce document taillé sur cette mesure s’appellerait projet de société. Or, il n’en est aucunement question avec cet opuscule. « Je reprends là simplement les thématiques qui sont au cœur de l’action que je mène au travers de ma fondation perspectives d’avenir. » Pouvait-il déduire.
Autant dire que ce qu’est proposé à la réflexion de la communauté nationale et internationale, ce sont des postulats pour la transformation sociale et économique du pays, en investissant, prioritairement dans le capital humain à travers sa jeunesse. « La jeunesse d’aujourd’hui vit avec les défis de son temps. » précise l’auteur, qui ne manque pas de relever que « Les difficultés d’hier ne sont peut-être plus celles d’aujourd’hui et au fur et à mesure qu’une société avance, grandit elle doit s’adapter aux défis de sa génération et de son époque. »
L’opuscule, dont la dédicace par son auteur pourra s’exporter dans d’autres lieux du pays et au-delà, est un appel à la mobilisation de tous les acteurs au développement, tels que l’Etat, les collectivités, la société civile, les ONGs, les entreprises publiques et privées…pour faire éclore le Congo de demain, qui aura pour ciment l’efficacité de l’action et la culture du resultat.
« Ce que je crois », un opuscule de 62 pages que chaque congolais peut désormais lire, est appréhendé comme l’engagement de Denis Christel Sassou NGuesso d’agir et de donner des perspectives d’espoir en faveur du Congo de demain.
Interrogé par la presse, Denis Christel Sassou NGuesso a fait une présentation de sa production artistique. « Cet ouvrage est un recueil d’un ensemble des thématiques sur lesquelles j’ai réfléchi et qui touchent de plein fouet notre pays, le Congo. » soutenait-il au micro de presse, tout en présentant le contenu du livre : « Nous évoquons les questions d’éducation, de l’employabilité des jeunes, de formation professionnelle et qualifiante, de la place et du rôle de la femme dans notre société que nous voulons moderne, de citoyenneté, des antivaleurs, qui sont au cœur du débat sociétal de notre pays. Nous y évoquons, également les questions du repli identitaire. »
A la vérité, l’auteur expose, à travers ses écrits des ébauches de réponses aux préoccupations et défis de l’heure. « En réalité l’approche qui était la mienne est celle de faire en sorte que l’ensemble des préoccupations, qui peuvent être celles de nos compatriotes, soit relevé dans cet opuscule et nous essayons d’apporter des ébauches des réponses qui, bien sûr, ne sont exhaustives, mais il faut commencer quelque part. » renchérissait Denis Christel Sassou NGuesso.
Pour lui, ce qui appartient au domaine du possible ne peut avoir qu’une base, le développement du capital humain, un préalable à l’épanouissement et un moyen pour chaque individu de s’insérer dans la société avec une seule volonté, à savoir mieux vivre ensemble.
Sur la question de savoir si cet opuscule constituait une entrée en matière pour la prochaine élection du président de la République ou un document de persuasion des électeurs, Denis Christel Sassou NGuesso a signifié qu’il ne s’agit ni de l’un ni de l’autre. Puisque, pense-t-il un projet de société ne contient pas que les questions évoquées dans ce livre. On parle de défense, de sécurité, d’environnement…et Ce document taillé sur cette mesure s’appellerait projet de société. Or, il n’en est aucunement question avec cet opuscule. « Je reprends là simplement les thématiques qui sont au cœur de l’action que je mène au travers de ma fondation perspectives d’avenir. » Pouvait-il déduire.
Autant dire que ce qu’est proposé à la réflexion de la communauté nationale et internationale, ce sont des postulats pour la transformation sociale et économique du pays, en investissant, prioritairement dans le capital humain à travers sa jeunesse. « La jeunesse d’aujourd’hui vit avec les défis de son temps. » précise l’auteur, qui ne manque pas de relever que « Les difficultés d’hier ne sont peut-être plus celles d’aujourd’hui et au fur et à mesure qu’une société avance, grandit elle doit s’adapter aux défis de sa génération et de son époque. »
L’opuscule, dont la dédicace par son auteur pourra s’exporter dans d’autres lieux du pays et au-delà, est un appel à la mobilisation de tous les acteurs au développement, tels que l’Etat, les collectivités, la société civile, les ONGs, les entreprises publiques et privées…pour faire éclore le Congo de demain, qui aura pour ciment l’efficacité de l’action et la culture du resultat.