Collégialité de l'ensemble du personnel FIPCAM
L’opinion nationale et internationale a sans doute été abusée par les nombreuses publications faites à travers les supports numériques par le biais des sites internet des journaux alwihdainfo.com et echosducameroun.com ; et portant sur les activités de l’entreprise FIPCAM (Fabrique Camerounaise de Parquet), entreprise d’exploitation et de transformation de bois, située au lieu-dit Nkolnguet sur l’axe Yaoundé-Mfou et qui emploie près de 700 personnes.
Ayant eu l’occasion de nous rapprocher de cette structure, nous remercions au passage ses responsables pour la franche collaboration et le professionnalisme dont ils ont fait preuve face à la multitude de questions et les nombreuses calomnies qui ont été diffusées par des individus aigris et qui n’ont pour seule motivation des intérêts égoïstes.
Fort des investigations et regroupements d’informations qui ont pu être menés et suivant la charte d’éthique professionnelle du journalisme qui consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité ; en d’autres termes, selon le code de déontologie de l'Union des Journalistes du Cameroun, s’abstenir de publier des informations douteuses, de déformer la vérité des faits ou d'attribuer à quiconque des paroles ou actes sans avoir vérifié son information, je tiens tout d’abord à me désolidariser de manière complète de tout acte et de toute association avec ces personnes dont la plus part sont sous le coup de poursuites judiciaires et sont activement recherchées par les FMO ; et ensuite éclairer l’opinion sur les principales accusations qui sont portées sur la société FIPCAM.
La société FIPCAM a légalement acquis une propriété au lieu-dit Nkolnguet auprès de cinq familles riveraines qui ont consenties à lui concéder un terrain d’une superficie de 23Ha pour y installer son unité de production. L’activité sur le site débute en 2001, les termes de références relatifs à l’audit environnemental et social ont été approuvés par lettre N°00489/L/MINEP/IG/I1 du 25 février 2008, suivant le décret N°2005/0577/PM du 23 février 2005 fixant les modalités de réalisation des EIE et l’Arrêté N°0070/MINEP du 22 août 2005 fixant les différentes catégories d’opérations dont la réalisation est soumise à une EIE et le Certificat de Conformité Environnemental N°00000028 du 26 mai 2010 a été délivré par le Ministère de l’Environnement et de la Protection de la Nature.
Plusieurs documents ont été mis à notre disposition comme preuves et je me dois d’éclairer l’opinion et de dénoncer cette cavale orchestrée par des ex-employés FIPCAM à la tête un certain ETOUNOU Lucien, qui suivant son dossier disciplinaire, a multiplié des attitudes et comportement en marge du règlement intérieur de la société et ce malgré plusieurs rappels à l’ordre et qui essaye d’impliquer les sieurs MBOM Alex (en service au cabinet du DCC à la Présidence de la République, BELINGA Jean Marc (Employé à la SIM à AHALA) et BEYEME Etienne ayant tous bénéficié des indemnités dues à la rupture de leurs contrats de travail, en imitant à chaque fois leurs signatures sur les documents et autres lettres de menaces.
Ce qui vient encore confirmer les intentions de nuire de ces personnes, c’est l’interprétation qui a été faite sur les récents évènements survenus sur le chantier d’exploitation de FIPCAM dans le Sud du Cameroun en déclarant qu’il ya eu quatre morts suite à une panne du véhicule de transport du personnel du chantier, ce qui est une ineptie car ayant rencontré le responsable d’enquête les faits sont tout autre et pour le respect de la mémoire de ces personnes et de leurs familles, je ne pouvais rester inactif face à toutes ces déclarations mensongères.
Et pire encore sur la prétendu Convention sociale que FIPCAM refuse de signer, nous avons eu la preuve que ceci est l’œuvre de Monsieur ETOUNOU Lucien, fils du Chef de village Nkolnguet et qui use de cette position pour intimider les autres membres de familles riveraines qui se sont en total désaccord de ses actes.
Pour terminer, je me dois de dire ici que qu’il n’ya aucune tension sociale à la FIPCAM due à des grèves ou des problèmes de salaires, FIPCAM continu d’employer et former plusieurs jeunes riverains qui sont solidaires à la politique sociale de l’entreprise et qui ne se reconnaissent aucunement dans les diffamations publiées.
D’autres éclairages suivront pour dénoncer ces attitudes antipatriotiques et nous vous invitons à suivre les réalisations sur le site www.fipcam.com/publication.php
Nestor Nga Etoga - Correspondant d'Alwihda Info à Yaoundé, Cameroun. +237 695884015
moire de ces personnes et de leurs familles, je ne pouvais rester inactif face
Ayant eu l’occasion de nous rapprocher de cette structure, nous remercions au passage ses responsables pour la franche collaboration et le professionnalisme dont ils ont fait preuve face à la multitude de questions et les nombreuses calomnies qui ont été diffusées par des individus aigris et qui n’ont pour seule motivation des intérêts égoïstes.
Fort des investigations et regroupements d’informations qui ont pu être menés et suivant la charte d’éthique professionnelle du journalisme qui consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité ; en d’autres termes, selon le code de déontologie de l'Union des Journalistes du Cameroun, s’abstenir de publier des informations douteuses, de déformer la vérité des faits ou d'attribuer à quiconque des paroles ou actes sans avoir vérifié son information, je tiens tout d’abord à me désolidariser de manière complète de tout acte et de toute association avec ces personnes dont la plus part sont sous le coup de poursuites judiciaires et sont activement recherchées par les FMO ; et ensuite éclairer l’opinion sur les principales accusations qui sont portées sur la société FIPCAM.
La société FIPCAM a légalement acquis une propriété au lieu-dit Nkolnguet auprès de cinq familles riveraines qui ont consenties à lui concéder un terrain d’une superficie de 23Ha pour y installer son unité de production. L’activité sur le site débute en 2001, les termes de références relatifs à l’audit environnemental et social ont été approuvés par lettre N°00489/L/MINEP/IG/I1 du 25 février 2008, suivant le décret N°2005/0577/PM du 23 février 2005 fixant les modalités de réalisation des EIE et l’Arrêté N°0070/MINEP du 22 août 2005 fixant les différentes catégories d’opérations dont la réalisation est soumise à une EIE et le Certificat de Conformité Environnemental N°00000028 du 26 mai 2010 a été délivré par le Ministère de l’Environnement et de la Protection de la Nature.
Plusieurs documents ont été mis à notre disposition comme preuves et je me dois d’éclairer l’opinion et de dénoncer cette cavale orchestrée par des ex-employés FIPCAM à la tête un certain ETOUNOU Lucien, qui suivant son dossier disciplinaire, a multiplié des attitudes et comportement en marge du règlement intérieur de la société et ce malgré plusieurs rappels à l’ordre et qui essaye d’impliquer les sieurs MBOM Alex (en service au cabinet du DCC à la Présidence de la République, BELINGA Jean Marc (Employé à la SIM à AHALA) et BEYEME Etienne ayant tous bénéficié des indemnités dues à la rupture de leurs contrats de travail, en imitant à chaque fois leurs signatures sur les documents et autres lettres de menaces.
Ce qui vient encore confirmer les intentions de nuire de ces personnes, c’est l’interprétation qui a été faite sur les récents évènements survenus sur le chantier d’exploitation de FIPCAM dans le Sud du Cameroun en déclarant qu’il ya eu quatre morts suite à une panne du véhicule de transport du personnel du chantier, ce qui est une ineptie car ayant rencontré le responsable d’enquête les faits sont tout autre et pour le respect de la mémoire de ces personnes et de leurs familles, je ne pouvais rester inactif face à toutes ces déclarations mensongères.
Et pire encore sur la prétendu Convention sociale que FIPCAM refuse de signer, nous avons eu la preuve que ceci est l’œuvre de Monsieur ETOUNOU Lucien, fils du Chef de village Nkolnguet et qui use de cette position pour intimider les autres membres de familles riveraines qui se sont en total désaccord de ses actes.
Pour terminer, je me dois de dire ici que qu’il n’ya aucune tension sociale à la FIPCAM due à des grèves ou des problèmes de salaires, FIPCAM continu d’employer et former plusieurs jeunes riverains qui sont solidaires à la politique sociale de l’entreprise et qui ne se reconnaissent aucunement dans les diffamations publiées.
D’autres éclairages suivront pour dénoncer ces attitudes antipatriotiques et nous vous invitons à suivre les réalisations sur le site www.fipcam.com/publication.php
Nestor Nga Etoga - Correspondant d'Alwihda Info à Yaoundé, Cameroun. +237 695884015
moire de ces personnes et de leurs familles, je ne pouvais rester inactif face