Dans son mot de bienvenue, l’auteur Djébégoto Bonné Dionkas a remercié l’assistance avant de présenter son œuvre poétique, qui, selon lui, met en lumière les dérives de la gouvernance coloniale et post-coloniale française au Tchad.
À travers une écriture à la croisée de la révolte et de la méditation, l’auteur se fait le témoin d’une histoire douloureuse, marquée par l’impérialisme, la violence et l’injustice. Il dresse un réquisitoire contre les mécanismes d’oppression qui ont structuré les relations entre le Tchad et la France, de la colonisation aux ingérences contemporaines.
Avec des vers empreints de solennité, Djébégoto Bonné Dionkas évoque les injustices, les inégalités, les pillages impunis, la corruption, le chômage, la maltraitance, le sous-développement et les abus de pouvoir infligés au peuple.
Né en 1997 à Bemi, Djébégoto Bonné Dionkas est titulaire d’un baccalauréat littéraire du Lycée d’Enseignement Technique Industriel Saint-Joseph de Kélo (2017). Il a ensuite obtenu une Licence en lettres et langues, option communication, à l’Université de Ngaoundéré (Cameroun).
Plus qu’un texte de dénonciation, ce recueil de poèmes est un acte de mémoire et un appel à la conscience. Loin d’être un discours purement analytique ou historique, l’auteur a choisi le langage poétique pour exprimer la souffrance et la résistance de son peuple face aux injustices.
À travers une écriture à la croisée de la révolte et de la méditation, l’auteur se fait le témoin d’une histoire douloureuse, marquée par l’impérialisme, la violence et l’injustice. Il dresse un réquisitoire contre les mécanismes d’oppression qui ont structuré les relations entre le Tchad et la France, de la colonisation aux ingérences contemporaines.
Avec des vers empreints de solennité, Djébégoto Bonné Dionkas évoque les injustices, les inégalités, les pillages impunis, la corruption, le chômage, la maltraitance, le sous-développement et les abus de pouvoir infligés au peuple.
Né en 1997 à Bemi, Djébégoto Bonné Dionkas est titulaire d’un baccalauréat littéraire du Lycée d’Enseignement Technique Industriel Saint-Joseph de Kélo (2017). Il a ensuite obtenu une Licence en lettres et langues, option communication, à l’Université de Ngaoundéré (Cameroun).
Plus qu’un texte de dénonciation, ce recueil de poèmes est un acte de mémoire et un appel à la conscience. Loin d’être un discours purement analytique ou historique, l’auteur a choisi le langage poétique pour exprimer la souffrance et la résistance de son peuple face aux injustices.