Le colonel-berger et patron de la garde dite présidentielle Mohamed Djama balance. Après la photo de Mohamed Djama dans les rues de Paris, un autre cliché du colonel-berger circule depuis peu sur les réseaux sociaux. Une photographie où l'on voit le patron de la garde dite républicaine prendre la pose devant une résidence bien connue des Djiboutiens, puisqu’il s’agit de la propriété du couple présidentiel IOG/Khadra à Paris. A quoi rime-t-elle cette curieuse technique de communication ? Quel message veut-il faire passer cette fois-ci avec cette nouvelle carte postale ?
Peu nous chaut les pérégrinations de ce criminel dans la capitale française et les messages subliminaux contenus dans les cartes postales qu’il envoie à la régente de Haramous. En revanche, son dernier cliché nous intéresse particulièrement et nous ne bouderons pas notre plaisir de l’exploiter, à des fins patriotiques bien évidement. Nous ne saurions dire si notre bédouin a voulu jouer au lanceur d’alerte en posant devant la propriété de ses employeurs, en dévoilant notamment aux yeux des Djiboutiens le patrimoine immobilier d’IOG/khadra. Toujours est-il que sa dernière carte postale nous a donné l’idée de parler aujourd’hui du dit patrimoine, de braquer notre projecteur sur l'un des nombreux biens mal acquis de la famille régnante. Nous allons porter à la connaissance de nos compatriotes (ceux qui n'ont pas encore eu vent) l'existence d'une luxueuse propriété sise à Paris et appartenant au couple de Haramous. Un bien acquis avec l'argent du peuple de Djibouti, autrement dit d'une manière illicite.
Il est de notoriété publique que la famille régnante à Djibouti est riche et même immensément riche. Si l'on croit la chaîne franco-allemande ARTE, le tyran Guelleh serait le troisième homme le plus riche d'Afrique. D'où vient la fortune de cette famille présidentielle ? L’origine de la fortune de cette clique mafieuse ne fait guère de doute, elle est illicite et de nature kleptocrate. Argent public à usage privé, telle est la devise de la famille régnante. On ne saurait nier la prédation, la mise en coupe réglée de l’économie et le pillage institutionnalisé de notre pays. Au-delà de la confusion délibérée entre les caisses de l’état et celles de la famille, la mafia au pouvoir confisque tout, et ce à son unique profit. Elle siphonne les richesses du pays avec un incroyable sans-gêne. Une saignée permanente. Une véritable razzia. C'est ainsi que cette clique sangsue et criminelle s’est constituée une fortune colossale sur le dos du peuple de Djibouti. Une population que le tandem IOG/Khadra maintient dans l'indigence la plus totale. Cette camarilla qui affame tout un peuple est une kleptocratie familiale. Force est de malheureusement reconnaître que les membres de cette kleptocratie familiale sont immensément riches alors que la population djiboutienne demeure désespérément pauvre.
Si le vol des deniers publics ou le pillage d'un pays était couronné d’un prix, cette famille remporterait haut la main la palme d’or ou le premier prix. C'est dire si cette mafia a réalisé un pillage aux proportions gigantesques, une spoliation digne des pires dictatures (les Mobutu et consorts). Elle considère notre pays comme leur vache à lait et le pille comme bon leur semble. Pendant que les quelques 800 000 habitants du pays croupissent dans une misère indescriptible, la famille régnante mène un train de vie hallucinant qui frise l'indécence. Triste réalité.
Cet éclairage étant fait, il convient de revenir sur le cas de la propriété privée du couple de Haramous sise à Paris, le bien immobilier devant lequel le colonel-berger Mohamed Djama s'est immortalisé.
Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-jointes, la famille régnante possède une luxueuse demeure dans la capitale française. En effet, leur propriété très cossue est située dans le très chic 16 ème arrondissement de Paris, un quartier essentiellement habité par des gens fortunés. Une demeure sise très précisément au 91 avenue Henri Martin. Une résidence en pierres de taille, de très grand standing. Une habitation qui coûte au bas mot plusieurs milliards de nos francs. Pour info, les surfaces de ce genre de bien immobilier s'échangent autour de 15.000 € le m2. Et oui, ça coûte gros.
L'intérieur de la propriété est décoré à grands frais, avec des mobiliers très chers et des bibelots aux prix exorbitants (voir la photo d'IOG dans un des nombreux salons de la demeure). Sur les murs sont accrochés des tableaux de peintres célèbres. Et le tout dans un style Art déco. D’après des sources bien informées, ce bien hors norme est très luxueux. « Il y a des dorures partout, c’est le palais des Mille et une nuits » nous a confié une personne ayant eu accès à cette propriété. Au niveau sécurité, elle est surveillée 24/24 par des membres de la garde dite républicaine, des éléments détachés à Paris. Cette soldatesque travaille sous les ordres d’un certain Mohamed Robleh, ex-policier devenu colonel de la milice présidentielle. Un corps dirigé, rappelons le, par Mohamed Djama. Plusieurs personnes sont également employées à temps complet pour assurer l’entretien et l’intendance de cette propriété. Bref, une résidence budgétivore.
Lorsque nous avons cherché à savoir sous quel nom a-t-on enregistré cette propriété, nous avons découvert qu'elle appartient à une société civile immobilière (SCI) qui porte une appellation curieuse mais bien familière des Djiboutiens. Une société immatriculée à paris sous le nom de « SCI Haramous ». Et la gérante n’est autre que, tenez-vous bien, la régente de Haramous Khadra Haid. La propriété appartient donc à l’omnipotente épouse du tyran Guelleh puisqu’elle occupe la fonction de mandataire social (voir ci-jointe la fiche de la société civile immobilière). La SCI Haramous est officiellement en activité depuis 14 ans (sa date d’immatriculation datant du 12 octobre 2002). Comme sa fiche l'indique, la société est spécialisée dans « le secteur d’activité de la location de terrains et d’autres biens immobiliers ».
Il est fort probable que la famille régnante ait acquis d'autres biens immobiliers par le biais de la SCI Haramous. Lesquels ? Seule l'ouverture d'une information judiciaire pourra nous apporter des éclaircissements sur notre interrogation.
En attendant qu'un juge saisisse cette SCI Haramous, interrogeons nous sur l'acquisition du bien immobilier connu et attesté, à savoir la luxueuse propriété sise dans le très chic 16 ème arrondissement de Paris. Il est légitime de s’interroger sur cette acquisition: d’où vient l’argent ayant permis à Khadra Haid d’acquérir cette propriété hors de prix ? Sachant que cette femme n’a de ressources officielles que sa solde de fonctionnaire inactive du ministère de l’éducation nationale, avec quel argent a-t-elle donc financé l’achat de cette résidence cossue ? D’où viennent les fonds qui ont permis cette acquisition ?
Une chose est sûre, les émoluments officiels de Khadra Haid peuvent difficilement expliquer ce bien immobilier qui coûte la peau des fesses. Personne ne peut croire sérieusement que cette propriété, dont la valeur marchande s’élève à plusieurs milliards de nos francs, ait pu être acquise par le seul fruit de la solde d’institutrice de la dite acquéreuse. A vrai dire, cette résidence au luxe inouï est un bien mal acquis. L’argent qui a permis l’acquisition n'est pas tombé du ciel, il a bien été extorqué quelque part. En effet, il est clair comme l'eau de roche que cette femme ait acquis ce bien immobilier avec de l’argent volé au peuple de Djibouti. Autrement dit, un bien acquis avec des fonds illicites.
Qu'est-ce qu'un bien mal acquis ? Pour apporter des éléments de réponse à cette interrogation, nous allons emprunter les définitions de trois organismes différents :
- l'organisation « Transparency International » qui lutte contre la corruption des gouvernements et institutions gouvernementales mondiaux entend par bien mal acquis « l’ensemble des avoirs et biens publics détournés du budget d’un État et placés à l’étranger à des fins personnelles. Il s’agit ainsi d’un enrichissement illicite, c’est à dire de l’augmentation substantielle des biens d’un agent public, ou de toute autre personne, que celui-ci ne peut justifier au regard de ses revenus » ;
- le Centre national de coopération au développement (CNCD), en Belgique, le définit, quant à lui, comme « tout bien meuble ou immeuble, tout avoir ou fonds susceptible d’appropriation privative soustrait illégalement du patrimoine public et qui a pour effet d’appauvrir le patrimoine de l’État. » ;
- l'association CCFD-Terre Solidaire définit d’une façon générale les biens et avoirs mal acquis comme « le produit d’activités délictuelles ou criminelles. Il s’agit d’enrichissement illicite, c’est à dire de l’augmentation substantielle des biens d’un agent public ou de toute autre personne que celui-ci ne peut justifier au regard de ses revenus ».
A l'aune de ces définitions, nous pouvons affirmer que la très cupide épouse du tyran Guelleh, Mme Khadra Haid, s'est offerte la résidence parisienne avec des avoirs illicites, de l'argent volé, des fonds spoliés. Bref, il s'agit bel et bien d'un bien mal acquis.
Verra-t-on un jour cette clique assoiffée d’argent et de pouvoir répondre devant une juridiction indépendante de l’accusation de détournements des biens publics et de tous les crimes commis à l’endroit d’un peuple pacifique? En tout cas, aussi longtemps que cette kleptocratie familiale continuera de truster le pouvoir, il est illusoire d'espérer la fin du pillage institutionnalisé de notre pays.
Un dicton afar dit « beera cisab aallele », même si littéralement le diction veut dire « ce que l’on a fait de mal aura demain sa facture » nous pouvons le traduire par « bien mal acquis ne profite jamais ». Pour le moment, la famille régnante profite bien des avoirs détournés et autres biens mal acquis. Mais rien n'est immuable. Nous pouvons mettre fin à la spoliation de nos richesses par cette clique mafieuse. Pour cela, un seul mot d'ordre : le despote Guelleh doit partir, maintenant !
Peu nous chaut les pérégrinations de ce criminel dans la capitale française et les messages subliminaux contenus dans les cartes postales qu’il envoie à la régente de Haramous. En revanche, son dernier cliché nous intéresse particulièrement et nous ne bouderons pas notre plaisir de l’exploiter, à des fins patriotiques bien évidement. Nous ne saurions dire si notre bédouin a voulu jouer au lanceur d’alerte en posant devant la propriété de ses employeurs, en dévoilant notamment aux yeux des Djiboutiens le patrimoine immobilier d’IOG/khadra. Toujours est-il que sa dernière carte postale nous a donné l’idée de parler aujourd’hui du dit patrimoine, de braquer notre projecteur sur l'un des nombreux biens mal acquis de la famille régnante. Nous allons porter à la connaissance de nos compatriotes (ceux qui n'ont pas encore eu vent) l'existence d'une luxueuse propriété sise à Paris et appartenant au couple de Haramous. Un bien acquis avec l'argent du peuple de Djibouti, autrement dit d'une manière illicite.
Il est de notoriété publique que la famille régnante à Djibouti est riche et même immensément riche. Si l'on croit la chaîne franco-allemande ARTE, le tyran Guelleh serait le troisième homme le plus riche d'Afrique. D'où vient la fortune de cette famille présidentielle ? L’origine de la fortune de cette clique mafieuse ne fait guère de doute, elle est illicite et de nature kleptocrate. Argent public à usage privé, telle est la devise de la famille régnante. On ne saurait nier la prédation, la mise en coupe réglée de l’économie et le pillage institutionnalisé de notre pays. Au-delà de la confusion délibérée entre les caisses de l’état et celles de la famille, la mafia au pouvoir confisque tout, et ce à son unique profit. Elle siphonne les richesses du pays avec un incroyable sans-gêne. Une saignée permanente. Une véritable razzia. C'est ainsi que cette clique sangsue et criminelle s’est constituée une fortune colossale sur le dos du peuple de Djibouti. Une population que le tandem IOG/Khadra maintient dans l'indigence la plus totale. Cette camarilla qui affame tout un peuple est une kleptocratie familiale. Force est de malheureusement reconnaître que les membres de cette kleptocratie familiale sont immensément riches alors que la population djiboutienne demeure désespérément pauvre.
Si le vol des deniers publics ou le pillage d'un pays était couronné d’un prix, cette famille remporterait haut la main la palme d’or ou le premier prix. C'est dire si cette mafia a réalisé un pillage aux proportions gigantesques, une spoliation digne des pires dictatures (les Mobutu et consorts). Elle considère notre pays comme leur vache à lait et le pille comme bon leur semble. Pendant que les quelques 800 000 habitants du pays croupissent dans une misère indescriptible, la famille régnante mène un train de vie hallucinant qui frise l'indécence. Triste réalité.
Cet éclairage étant fait, il convient de revenir sur le cas de la propriété privée du couple de Haramous sise à Paris, le bien immobilier devant lequel le colonel-berger Mohamed Djama s'est immortalisé.
Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-jointes, la famille régnante possède une luxueuse demeure dans la capitale française. En effet, leur propriété très cossue est située dans le très chic 16 ème arrondissement de Paris, un quartier essentiellement habité par des gens fortunés. Une demeure sise très précisément au 91 avenue Henri Martin. Une résidence en pierres de taille, de très grand standing. Une habitation qui coûte au bas mot plusieurs milliards de nos francs. Pour info, les surfaces de ce genre de bien immobilier s'échangent autour de 15.000 € le m2. Et oui, ça coûte gros.
L'intérieur de la propriété est décoré à grands frais, avec des mobiliers très chers et des bibelots aux prix exorbitants (voir la photo d'IOG dans un des nombreux salons de la demeure). Sur les murs sont accrochés des tableaux de peintres célèbres. Et le tout dans un style Art déco. D’après des sources bien informées, ce bien hors norme est très luxueux. « Il y a des dorures partout, c’est le palais des Mille et une nuits » nous a confié une personne ayant eu accès à cette propriété. Au niveau sécurité, elle est surveillée 24/24 par des membres de la garde dite républicaine, des éléments détachés à Paris. Cette soldatesque travaille sous les ordres d’un certain Mohamed Robleh, ex-policier devenu colonel de la milice présidentielle. Un corps dirigé, rappelons le, par Mohamed Djama. Plusieurs personnes sont également employées à temps complet pour assurer l’entretien et l’intendance de cette propriété. Bref, une résidence budgétivore.
Lorsque nous avons cherché à savoir sous quel nom a-t-on enregistré cette propriété, nous avons découvert qu'elle appartient à une société civile immobilière (SCI) qui porte une appellation curieuse mais bien familière des Djiboutiens. Une société immatriculée à paris sous le nom de « SCI Haramous ». Et la gérante n’est autre que, tenez-vous bien, la régente de Haramous Khadra Haid. La propriété appartient donc à l’omnipotente épouse du tyran Guelleh puisqu’elle occupe la fonction de mandataire social (voir ci-jointe la fiche de la société civile immobilière). La SCI Haramous est officiellement en activité depuis 14 ans (sa date d’immatriculation datant du 12 octobre 2002). Comme sa fiche l'indique, la société est spécialisée dans « le secteur d’activité de la location de terrains et d’autres biens immobiliers ».
Il est fort probable que la famille régnante ait acquis d'autres biens immobiliers par le biais de la SCI Haramous. Lesquels ? Seule l'ouverture d'une information judiciaire pourra nous apporter des éclaircissements sur notre interrogation.
En attendant qu'un juge saisisse cette SCI Haramous, interrogeons nous sur l'acquisition du bien immobilier connu et attesté, à savoir la luxueuse propriété sise dans le très chic 16 ème arrondissement de Paris. Il est légitime de s’interroger sur cette acquisition: d’où vient l’argent ayant permis à Khadra Haid d’acquérir cette propriété hors de prix ? Sachant que cette femme n’a de ressources officielles que sa solde de fonctionnaire inactive du ministère de l’éducation nationale, avec quel argent a-t-elle donc financé l’achat de cette résidence cossue ? D’où viennent les fonds qui ont permis cette acquisition ?
Une chose est sûre, les émoluments officiels de Khadra Haid peuvent difficilement expliquer ce bien immobilier qui coûte la peau des fesses. Personne ne peut croire sérieusement que cette propriété, dont la valeur marchande s’élève à plusieurs milliards de nos francs, ait pu être acquise par le seul fruit de la solde d’institutrice de la dite acquéreuse. A vrai dire, cette résidence au luxe inouï est un bien mal acquis. L’argent qui a permis l’acquisition n'est pas tombé du ciel, il a bien été extorqué quelque part. En effet, il est clair comme l'eau de roche que cette femme ait acquis ce bien immobilier avec de l’argent volé au peuple de Djibouti. Autrement dit, un bien acquis avec des fonds illicites.
Qu'est-ce qu'un bien mal acquis ? Pour apporter des éléments de réponse à cette interrogation, nous allons emprunter les définitions de trois organismes différents :
- l'organisation « Transparency International » qui lutte contre la corruption des gouvernements et institutions gouvernementales mondiaux entend par bien mal acquis « l’ensemble des avoirs et biens publics détournés du budget d’un État et placés à l’étranger à des fins personnelles. Il s’agit ainsi d’un enrichissement illicite, c’est à dire de l’augmentation substantielle des biens d’un agent public, ou de toute autre personne, que celui-ci ne peut justifier au regard de ses revenus » ;
- le Centre national de coopération au développement (CNCD), en Belgique, le définit, quant à lui, comme « tout bien meuble ou immeuble, tout avoir ou fonds susceptible d’appropriation privative soustrait illégalement du patrimoine public et qui a pour effet d’appauvrir le patrimoine de l’État. » ;
- l'association CCFD-Terre Solidaire définit d’une façon générale les biens et avoirs mal acquis comme « le produit d’activités délictuelles ou criminelles. Il s’agit d’enrichissement illicite, c’est à dire de l’augmentation substantielle des biens d’un agent public ou de toute autre personne que celui-ci ne peut justifier au regard de ses revenus ».
A l'aune de ces définitions, nous pouvons affirmer que la très cupide épouse du tyran Guelleh, Mme Khadra Haid, s'est offerte la résidence parisienne avec des avoirs illicites, de l'argent volé, des fonds spoliés. Bref, il s'agit bel et bien d'un bien mal acquis.
Verra-t-on un jour cette clique assoiffée d’argent et de pouvoir répondre devant une juridiction indépendante de l’accusation de détournements des biens publics et de tous les crimes commis à l’endroit d’un peuple pacifique? En tout cas, aussi longtemps que cette kleptocratie familiale continuera de truster le pouvoir, il est illusoire d'espérer la fin du pillage institutionnalisé de notre pays.
Un dicton afar dit « beera cisab aallele », même si littéralement le diction veut dire « ce que l’on a fait de mal aura demain sa facture » nous pouvons le traduire par « bien mal acquis ne profite jamais ». Pour le moment, la famille régnante profite bien des avoirs détournés et autres biens mal acquis. Mais rien n'est immuable. Nous pouvons mettre fin à la spoliation de nos richesses par cette clique mafieuse. Pour cela, un seul mot d'ordre : le despote Guelleh doit partir, maintenant !