Un manifestant brandit une pencarte mentionnant "La France nous sommes fatigués", en Centrafrique. Une phrase qui en dit long sur le soutien de ce pays aux dictateurs notamment la Djibouti. Crédits photos : Sources
DJIBOUTI - Selon les informations reçues, le 21 février 2013 à 17 heures, M. Osman a été arrêté puis emmené à la brigade de la gendarmerie après avoir dénoncé, dans le cadre d'un rassemblement de l’opposition de 20 février 2013, les tortures infligés aux prisonniers politiques ainsi que leurs conditions de détention.
A l'heure où l'Observatoire pour le Respect des Droits Humains à Djibouti (ORHD) diffuse un appel urgent, M. Osman ne se trouve plus à la gendarmerie et son lieu de détention est désormais inconnu.
L'Observatoire exprime sa plus grande préoccupation quant à la détention au secret de M. Osman, et craint pour son intégrité physique et psychologique, alors que les élections législatives se déroulent aujourd'hui à Djibouti, dans un contexte tendu.
A l'heure où l'Observatoire pour le Respect des Droits Humains à Djibouti (ORHD) diffuse un appel urgent, M. Osman ne se trouve plus à la gendarmerie et son lieu de détention est désormais inconnu.
L'Observatoire exprime sa plus grande préoccupation quant à la détention au secret de M. Osman, et craint pour son intégrité physique et psychologique, alors que les élections législatives se déroulent aujourd'hui à Djibouti, dans un contexte tendu.