DOHA – Le Secrétaire général a lancé lundi un appel au gouvernement soudanais à annuler sa décision d'expulsion des ONG actives au Darfour et dans d'autres régions du pays, au sommet de la Ligue des Etats arabes réuni à Doha (Qatar).
Ban Ki-moon s'est extrêmement préoccupé par la décision du gouvernement soudanais d'expulser des ONG internationales cruciales mais aussi de suspendre trois ONG nationales qui fournissent des services vitaux à plus d'un million de personnes.
Evoquant la crise économique et les conflits armés, le Secrétaire général a estimé que « le monde arabe faisait face aujourd'hui à l'insécurité et qu'il risquait davantage à l'avenir », a rapporté la porte-parole du Secrétaire général, Michèle Montas, lors de son point de presse quotidien, au siège de l'ONU, à New York.
La porte-parole a précisé que le Ban Ki-moon n'avait rencontré aucun représentant soudanais à la conférence, notamment le président Bachir qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt lancé par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité au Darfour.
S'agissant du Liban, le Secrétaire général a espéré que se tiendraient des élections libres et transparentes le 7 juin.
Il a souligné concernant la Somalie que le pays bénéficiait d'une « rare fenêtre d'opportunité ».
En marge du sommet, le Secrétaire général a rencontré en tête à tête le secrétaire général de la Ligue, Amre Moussa ainsi que le secrétaire général de l'Organisation de la conférence islamique, le président des Emirats arabes unis et le ministre des Affaires étrangères de la Norvège.
Dimanche, Ban Ki-moon avait rencontré l'Emir du Qatar, le président du Liban, de l'Autorité palestinienne, de la Somalie et de la Syrie.
Ban Ki-moon s'est extrêmement préoccupé par la décision du gouvernement soudanais d'expulser des ONG internationales cruciales mais aussi de suspendre trois ONG nationales qui fournissent des services vitaux à plus d'un million de personnes.
Evoquant la crise économique et les conflits armés, le Secrétaire général a estimé que « le monde arabe faisait face aujourd'hui à l'insécurité et qu'il risquait davantage à l'avenir », a rapporté la porte-parole du Secrétaire général, Michèle Montas, lors de son point de presse quotidien, au siège de l'ONU, à New York.
La porte-parole a précisé que le Ban Ki-moon n'avait rencontré aucun représentant soudanais à la conférence, notamment le président Bachir qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt lancé par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité au Darfour.
S'agissant du Liban, le Secrétaire général a espéré que se tiendraient des élections libres et transparentes le 7 juin.
Il a souligné concernant la Somalie que le pays bénéficiait d'une « rare fenêtre d'opportunité ».
En marge du sommet, le Secrétaire général a rencontré en tête à tête le secrétaire général de la Ligue, Amre Moussa ainsi que le secrétaire général de l'Organisation de la conférence islamique, le président des Emirats arabes unis et le ministre des Affaires étrangères de la Norvège.
Dimanche, Ban Ki-moon avait rencontré l'Emir du Qatar, le président du Liban, de l'Autorité palestinienne, de la Somalie et de la Syrie.