Denis Sassou-N’Guesso est aussi président de la Commission Climat du Bassin du Congo. C’est à ce titre qu’il a porté la voix de l’Afrique centrale à la COP25. En marge de ce rendez-vous international consacré à la recherche des solutions aux effets néfastes des changements climatiques, le chef de l’Etat congolais a rencontré, le 03 décembre 2019 à Madrid, les bailleurs de fonds et les partenaires techniques et financiers pour leur parler du Fonds Bleu pour le Bassin du Congo qui est le bras financier de la Commission des forêts du Bassin du Congo.
C’est un vrai plaidoyer que Denis Sassou N’Guesso a menée face aux bailleurs de fonds, aux partenaires techniques et financiers. Le président Denis Sassou N’Guesso a, dans un langage direct, présenté le Fonds bleu comme un espoir pour la survie de la planète. Il constitue, a-t-il précisé, un instrument de financement des projets structurants pour l’économie bleue et verte, ainsi que de l’intégration régionale africaine.
Et, le président de la Commission climat du Bassin du Congo a sollicité des institutions financières une oreille attentive. « Pour financer le Fonds Bleu, nous entendons impliquer tous les bailleurs de fonds publics, bilatéraux et multilatéraux, déjà mobilisés dans le domaine du développement et du changement climatique », a-t-il précisé.
« Les financements privés sont les bienvenus pour la mise en œuvre des projets », a renchéri Denis Sassou N’Guesso qui entend poursuivre dans la capitale espagnole des consultations avec les représentants de bailleurs de fonds et d’autres hauts responsables en vue d’obtenir leur adhésion et financement au Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
En clair , le Fonds Bleu est indispensable, eu égard aux missions qui lui sont assignées, notamment la transformation, en profondeur des modèles économiques, sociaux et environnementaux en s’alignant sur l’agenda 2063 de l’Union Africaine et 2030 des Nations Unies, sur l’atteinte des 17 Objectifs pour Développement Durable (ODD).
Le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo est un fonds international de développement qui vise à permettre aux Etats de la sous-région du Bassin du Congo de passer d'une économie liée à l'exploitation des forets à économie basée sur les ressources issues de la gestion des eaux. L'accord portant création de ce fonds a été signé par les 16 Etats concernés, le 9 mars 2017, à Oyo, dans la Cuvette, en République Congo.
C’est un vrai plaidoyer que Denis Sassou N’Guesso a menée face aux bailleurs de fonds, aux partenaires techniques et financiers. Le président Denis Sassou N’Guesso a, dans un langage direct, présenté le Fonds bleu comme un espoir pour la survie de la planète. Il constitue, a-t-il précisé, un instrument de financement des projets structurants pour l’économie bleue et verte, ainsi que de l’intégration régionale africaine.
Et, le président de la Commission climat du Bassin du Congo a sollicité des institutions financières une oreille attentive. « Pour financer le Fonds Bleu, nous entendons impliquer tous les bailleurs de fonds publics, bilatéraux et multilatéraux, déjà mobilisés dans le domaine du développement et du changement climatique », a-t-il précisé.
« Les financements privés sont les bienvenus pour la mise en œuvre des projets », a renchéri Denis Sassou N’Guesso qui entend poursuivre dans la capitale espagnole des consultations avec les représentants de bailleurs de fonds et d’autres hauts responsables en vue d’obtenir leur adhésion et financement au Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
En clair , le Fonds Bleu est indispensable, eu égard aux missions qui lui sont assignées, notamment la transformation, en profondeur des modèles économiques, sociaux et environnementaux en s’alignant sur l’agenda 2063 de l’Union Africaine et 2030 des Nations Unies, sur l’atteinte des 17 Objectifs pour Développement Durable (ODD).
Le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo est un fonds international de développement qui vise à permettre aux Etats de la sous-région du Bassin du Congo de passer d'une économie liée à l'exploitation des forets à économie basée sur les ressources issues de la gestion des eaux. L'accord portant création de ce fonds a été signé par les 16 Etats concernés, le 9 mars 2017, à Oyo, dans la Cuvette, en République Congo.