Sept islamistes ont été arrêtées mardi à Paris et en banlieue. Ils sont soupçonnés d'être proches de la « mouvance djihadiste ».
La direction centrale du renseignement intérieur et la section antiterroriste de la brigade criminelle de Paris, en charge de l'affaire, affirment que ces arrestations n'ont rien à voir avec les explosifs découverts mardi matin dans des toilettes du grand magasin Le Printemps à Paris.
Une volonté nette de dissocier les deux affaires au sein du gouvernement français comme en témoignent les propos tenus par le ministre de la Défense Hervé Morin, sur la radio RTL ce mercredi.
« La piste islamiste en tant que telle n'est pas la piste première », a-t-il ainsi déclaré avant de préciser que « la menace terroriste c'est la grande menace pour l'ensemble de la planète, elle ne se limite pas à la France, elle ne se limita pas aux grandes puissances occidentales, elle frappe partout ».
Et alors que dans sa revendication, le Front révolutionnaire afghan, groupe totalement inconnu jusque-là, a exigé le retrait des troupes françaises d'Afghanistan avant la fin février 2009, le ministre a tenu à rappeler que même si « la situation est plus dégradée qu'elle ne l'était il y a deux ou trois ans » en Afghanistan , « en même temps on a construit 4.000 km de routes, on a scolarisé 6 millions d'enfants et on a fait en sorte que 80% des Afghans aient aujourd'hui accès à la santé ».
Source:
http://guysen.com/
La direction centrale du renseignement intérieur et la section antiterroriste de la brigade criminelle de Paris, en charge de l'affaire, affirment que ces arrestations n'ont rien à voir avec les explosifs découverts mardi matin dans des toilettes du grand magasin Le Printemps à Paris.
Une volonté nette de dissocier les deux affaires au sein du gouvernement français comme en témoignent les propos tenus par le ministre de la Défense Hervé Morin, sur la radio RTL ce mercredi.
« La piste islamiste en tant que telle n'est pas la piste première », a-t-il ainsi déclaré avant de préciser que « la menace terroriste c'est la grande menace pour l'ensemble de la planète, elle ne se limite pas à la France, elle ne se limita pas aux grandes puissances occidentales, elle frappe partout ».
Et alors que dans sa revendication, le Front révolutionnaire afghan, groupe totalement inconnu jusque-là, a exigé le retrait des troupes françaises d'Afghanistan avant la fin février 2009, le ministre a tenu à rappeler que même si « la situation est plus dégradée qu'elle ne l'était il y a deux ou trois ans » en Afghanistan , « en même temps on a construit 4.000 km de routes, on a scolarisé 6 millions d'enfants et on a fait en sorte que 80% des Afghans aient aujourd'hui accès à la santé ».
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http://guysen.com/