« L’ancienne première dame a été inculpée entre autres, pour avoir engagé le Gabon sur plusieurs dossiers à l’international, en faisant usage d’un faux cachet fabriqué au Maroc et ayant la signature d’Ali Bongo Ondimba, le président déchu », a rapporté ce vendredi, Depeche241 du Gabon.
Le quotidien gabonais, L’Union, a révélé que Mme Sylvia Bongo avait été entendue jeudi 28 septembre par un juge d’instruction, lequel a prononcé à son encontre une assignation à résidence après l’avoir inculpé pour « blanchiment de capitaux, faux, usage de faux, et usurpation de qualité ».
«Sylvia Bongo Ondimba aurait régulièrement engagé la Gabon dans plusieurs dossiers en faisant usage d’un faux cachet fabriqué au Maroc et ayant déjà la signature du chef d’Etat déchu», a souligné L’Union.
Le quotidien gabonais, L’Union, a révélé que Mme Sylvia Bongo avait été entendue jeudi 28 septembre par un juge d’instruction, lequel a prononcé à son encontre une assignation à résidence après l’avoir inculpé pour « blanchiment de capitaux, faux, usage de faux, et usurpation de qualité ».
«Sylvia Bongo Ondimba aurait régulièrement engagé la Gabon dans plusieurs dossiers en faisant usage d’un faux cachet fabriqué au Maroc et ayant déjà la signature du chef d’Etat déchu», a souligné L’Union.