«Je suis un soldat. Je sais ce que c’est que la guerre, j’irai à Khartoum le 08 février 2010 pour m’entretenir avec le Président soudanais», c'est ainsi que le président tchadien Idriss Déby s'est exprimé devant les membres du bureau de l’Assemblée de la Francophonie mercredi.
Dans 48 heures, le président tchadien se rendra officiellement dans la capitale soudanaise à Karthoum pour rencontrer le président Oumar El-Béchir.
Son objectif, la réconciliation entre le Soudan et le Tchad. Le président tchadien veut mettre fin à la guerre interposé par des rébellions armées. La rébellion aurait quelques mois pour négocier avec le gouvernement dans le cas contraire, elle sera "neutralisé" par l'armée tchadienne.
Les retrouvailles entre les deux présidents vont marquer beaucoup de choses et sans doute essentiellement la fin d'une guerre. Le déplacement du président tchadien pourrait marquer l'histoire car c'est la première fois qu'aucune médiation étrangère n'intervient dans les négociations.
On se rappelle qu'il y a deux ans, plusieurs milliers de rebelles armés a bord de pick-up traversaient le pays pour arriver d'assaut dans la capitale N'Djamena et encerclèrent le palais présidentielle. Après de jours de combats, des divergences au sein de la rébellion enchaina leur repli stratégique puis leur retour à leurs bases arrières.
La capitale fût détruite et la plus part de la population avait fuit au Cameroun (pays voisin). Depuis, le Tchad sous l'impulsion du président Idriss Déby, s'est lancé dans un développement.
Dans 48 heures, le président tchadien se rendra officiellement dans la capitale soudanaise à Karthoum pour rencontrer le président Oumar El-Béchir.
Son objectif, la réconciliation entre le Soudan et le Tchad. Le président tchadien veut mettre fin à la guerre interposé par des rébellions armées. La rébellion aurait quelques mois pour négocier avec le gouvernement dans le cas contraire, elle sera "neutralisé" par l'armée tchadienne.
Les retrouvailles entre les deux présidents vont marquer beaucoup de choses et sans doute essentiellement la fin d'une guerre. Le déplacement du président tchadien pourrait marquer l'histoire car c'est la première fois qu'aucune médiation étrangère n'intervient dans les négociations.
On se rappelle qu'il y a deux ans, plusieurs milliers de rebelles armés a bord de pick-up traversaient le pays pour arriver d'assaut dans la capitale N'Djamena et encerclèrent le palais présidentielle. Après de jours de combats, des divergences au sein de la rébellion enchaina leur repli stratégique puis leur retour à leurs bases arrières.
La capitale fût détruite et la plus part de la population avait fuit au Cameroun (pays voisin). Depuis, le Tchad sous l'impulsion du président Idriss Déby, s'est lancé dans un développement.