Gilbert Ondongo, ministre de l’économie et du portefeuille public, ainsi que les deux responsables de la société Yto-Camaco, Claude Wilfried Etoka et Cai Lubo; ont visité les installations de l’usine de montage de tracteurs. Un engin témoin servant de prototype a été présenté à la presse ainsi qu’à la forte délégation des participants au 5ème forum Investir en Afrique, conduite par le ministre des Zones économiques spéciales, Gilbert Mokoki. Selon M. Mohamed Samba, « les premiers tracteurs pourraient être disponible au premier semestre de l’année 2020 parce qu’il s’agit de monter, donc on va relativement aller très vite ».
La fiche technique renseignant sur l’usine, indique que sa « capacité de production est évaluée à 3 000 tracteurs par an pour une seule équipe, soit 8 heures de travail par jour. Alors que, 6 000 tracteurs par an pour deux équipes, soit 16 heures de travail par jour. Et la production devra atteindre 9 000 tracteurs par an si l’on fait travailler trois équipes, soit 24 tracteurs par jour. »
Satisfaction du gouvernement congolais
En sa qualité du ministre de l’économie et du portefeuille public, Gilbert Ondongo s’est réjoui de l’aboutissement de ce qui, selon lui, n’était hier qu’un projet est devenue une société. « Je dois me féliciter de la démarche qui est la nôtre », a-t-il déclaré avant d’ajouter : « Nous avons commencé à concevoir un projet, un accord a été signé en chine. Désormais, la société à une Assemblée générale et un conseil d’administration, les organes qui vont se retrouver pour délibérer et donner de vie réellement à la société », a précisé Gilbert Ondongo, en relevant l’intérêt pour le gouvernement de l’appuyer de toute ses forces pour que ce projet soit une réussite et qu’il ne pas soit l’unique, … de sorte que l’agriculture soit réellement et soutenue.
« Nous devons le hisser vers le haut pour servir de plateforme pour le développement de notre pays », a encore déclaré le ministre du portefeuille public. Pour lui, « l’agriculture et les ressources naturelles doivent servir de base à l’industrialisation » comme cela est prévu dans le plan stratégique du gouvernement.
Citant sans le nommer, un membre du conseil d’administration de la société, Gilbert Ondongo a rassuré « qu’en octobre, va se tenir le conseil d’administration et on lancerait alors le processus conduisant à la production des tracteurs, outil de développement dans notre pays », a-t-il conclu.
Le 11 septembre 2019, date mémorable
La société Eco-Camaco est née le 11 septembre 2019. Les statuts portant sa création ont été signés à cette date, au centre international de conférence de Kintelé, en marge en marge du 5è forum Invertir en Afrique. Société à capitaux mixte, Eco-Camaco appartient à l’Etat congolais qui y détient 30% de parts dans le capital à Eco Oil, détenant elle aussi 30% alors que Camaco détient 40%.
Le ministre de l’économie et du portefeuille public, Gilbert Ondongo a signé pour le compte du gouvernement congolais, Claude Wilfried Etoka pour le compte de Eco Oil et Cai Lubo pour Yto-Camaco. Eco-Camaco est ainsi créée une année après la signature de l’accord , le 8 septembre 2018 à Shanghai, en Chine et qui portait sur le projet de création de la société.
La fiche technique renseignant sur l’usine, indique que sa « capacité de production est évaluée à 3 000 tracteurs par an pour une seule équipe, soit 8 heures de travail par jour. Alors que, 6 000 tracteurs par an pour deux équipes, soit 16 heures de travail par jour. Et la production devra atteindre 9 000 tracteurs par an si l’on fait travailler trois équipes, soit 24 tracteurs par jour. »
Satisfaction du gouvernement congolais
En sa qualité du ministre de l’économie et du portefeuille public, Gilbert Ondongo s’est réjoui de l’aboutissement de ce qui, selon lui, n’était hier qu’un projet est devenue une société. « Je dois me féliciter de la démarche qui est la nôtre », a-t-il déclaré avant d’ajouter : « Nous avons commencé à concevoir un projet, un accord a été signé en chine. Désormais, la société à une Assemblée générale et un conseil d’administration, les organes qui vont se retrouver pour délibérer et donner de vie réellement à la société », a précisé Gilbert Ondongo, en relevant l’intérêt pour le gouvernement de l’appuyer de toute ses forces pour que ce projet soit une réussite et qu’il ne pas soit l’unique, … de sorte que l’agriculture soit réellement et soutenue.
« Nous devons le hisser vers le haut pour servir de plateforme pour le développement de notre pays », a encore déclaré le ministre du portefeuille public. Pour lui, « l’agriculture et les ressources naturelles doivent servir de base à l’industrialisation » comme cela est prévu dans le plan stratégique du gouvernement.
Citant sans le nommer, un membre du conseil d’administration de la société, Gilbert Ondongo a rassuré « qu’en octobre, va se tenir le conseil d’administration et on lancerait alors le processus conduisant à la production des tracteurs, outil de développement dans notre pays », a-t-il conclu.
Le 11 septembre 2019, date mémorable
La société Eco-Camaco est née le 11 septembre 2019. Les statuts portant sa création ont été signés à cette date, au centre international de conférence de Kintelé, en marge en marge du 5è forum Invertir en Afrique. Société à capitaux mixte, Eco-Camaco appartient à l’Etat congolais qui y détient 30% de parts dans le capital à Eco Oil, détenant elle aussi 30% alors que Camaco détient 40%.
Le ministre de l’économie et du portefeuille public, Gilbert Ondongo a signé pour le compte du gouvernement congolais, Claude Wilfried Etoka pour le compte de Eco Oil et Cai Lubo pour Yto-Camaco. Eco-Camaco est ainsi créée une année après la signature de l’accord , le 8 septembre 2018 à Shanghai, en Chine et qui portait sur le projet de création de la société.