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L’opérationnalisation de la Zone de libre-échange continentale africaine est un enjeu majeur pour l’Afrique et un réel défi pour ses dirigeants. La réussite du plan de développement du continent africain, contenu dans l’agenda 2063 de l’UA passe aussi par là.
Compris comme un plan directeur, l’agenda 2063 se propose de faire de l’Afrique la locomotive mondiale de l’avenir. Il apparaît ainsi comme un cadre stratégique pour la réalisation de l’objectif de développement inclusif et durable de l’Afrique. Il est aussi une manifestation concrète de la volonté panafricaine d’unité, d’autodétermination, de liberté, de progrès et de prospérité collective.
Les documents ont déjà été préparés par la réunion des ministres africains du commerce et le conseil des ministres chargé des négociations, deux principales instances de la ZLECA. Les chefs d’Etat et de gouvernement travailleront pour réunir des conditions nécessaires au lancement effectif des opérations commerciales de la Zone dès le 1er janvier 2021. Ils devraient accorder les vues au sortir de ces assises. Denis Sassou-N’Guesso qui prend à cœur l’intégration africaine interviendra au cours de ce sommet par visioconférence. Il pourra souligner l’urgence de l’opérationnalisation effective de la ZLECA.
Il est vrai que l’opérationnalisation de la ZLECA reste, pour l’Afrique, un impératif majeur et incontournable. Il n’en demeure moins vrai que l’harmonisation des mécanismes institutionnels en charge de ce processus, notamment la réunion des ministres du Commerce et le Conseil des ministres constitue pour les dirigeants africains un autre enjeu dont l’objectif est d’éviter toute duplication et toute contrariété.
En rappel la zone de libre-échange africaine vise à accélérer le commerce intra-africain et renforcer la position commerciale sur le marché mondial, en renforçant la voix commune de l’Afrique et son espace politique dans les négociations mondiales.
Compris comme un plan directeur, l’agenda 2063 se propose de faire de l’Afrique la locomotive mondiale de l’avenir. Il apparaît ainsi comme un cadre stratégique pour la réalisation de l’objectif de développement inclusif et durable de l’Afrique. Il est aussi une manifestation concrète de la volonté panafricaine d’unité, d’autodétermination, de liberté, de progrès et de prospérité collective.
Les documents ont déjà été préparés par la réunion des ministres africains du commerce et le conseil des ministres chargé des négociations, deux principales instances de la ZLECA. Les chefs d’Etat et de gouvernement travailleront pour réunir des conditions nécessaires au lancement effectif des opérations commerciales de la Zone dès le 1er janvier 2021. Ils devraient accorder les vues au sortir de ces assises. Denis Sassou-N’Guesso qui prend à cœur l’intégration africaine interviendra au cours de ce sommet par visioconférence. Il pourra souligner l’urgence de l’opérationnalisation effective de la ZLECA.
Il est vrai que l’opérationnalisation de la ZLECA reste, pour l’Afrique, un impératif majeur et incontournable. Il n’en demeure moins vrai que l’harmonisation des mécanismes institutionnels en charge de ce processus, notamment la réunion des ministres du Commerce et le Conseil des ministres constitue pour les dirigeants africains un autre enjeu dont l’objectif est d’éviter toute duplication et toute contrariété.
En rappel la zone de libre-échange africaine vise à accélérer le commerce intra-africain et renforcer la position commerciale sur le marché mondial, en renforçant la voix commune de l’Afrique et son espace politique dans les négociations mondiales.