Les journalistes tchadiens se sont réunis ce lundi 06 novembre 2017 à la maison des médias pour mettre en place un collectif.
Selon le collectif des journalistes tchadiens, "le journalisme est un métier ouvert et la loi n°17 qui régit ce métier est claire. Le Haut Conseil de la Communication qui régule les organes de presse doit rappeler le procureur à l'ordre. Garder Juda en prison au motif qu'il a usurpé la fonction de journaliste est une honte pour le Tchad".
"Nous n'avons pas besoin d'un procès. Le procureur s'est trompé de texte, et il doit immédiatement ordonner la libération de notre confrère au risque de nous voir tous en prison. 20 jours de détention pour motif non fondé, c'est de trop", ont lancé les journalistes.
Ces derniers déplorent le silence du HCC qui n'a rien fait jusque-là, pour permettre à ce que le journaliste et président du Patronat de la Presse Tchadienne ne puisse retrouver sa liberté. "Que le ministère cesse de servir les gens plutôt que le peuple. La place du journaliste n'est pas en prison, mais plutôt auprès de la population qui a besoin d'être informée et que sa voix soit portée"", selon le collectif qui appelle à sa libération.
Selon le collectif des journalistes tchadiens, "le journalisme est un métier ouvert et la loi n°17 qui régit ce métier est claire. Le Haut Conseil de la Communication qui régule les organes de presse doit rappeler le procureur à l'ordre. Garder Juda en prison au motif qu'il a usurpé la fonction de journaliste est une honte pour le Tchad".
"Nous n'avons pas besoin d'un procès. Le procureur s'est trompé de texte, et il doit immédiatement ordonner la libération de notre confrère au risque de nous voir tous en prison. 20 jours de détention pour motif non fondé, c'est de trop", ont lancé les journalistes.
Ces derniers déplorent le silence du HCC qui n'a rien fait jusque-là, pour permettre à ce que le journaliste et président du Patronat de la Presse Tchadienne ne puisse retrouver sa liberté. "Que le ministère cesse de servir les gens plutôt que le peuple. La place du journaliste n'est pas en prison, mais plutôt auprès de la population qui a besoin d'être informée et que sa voix soit portée"", selon le collectif qui appelle à sa libération.