PARIS - Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a reçu mercredi matin à Paris son homologue tchadien Moussa Faki Mahamat pour étudier les moyens diplomatiques face à l'offensive rebelle dans l'est du Tchad, a annoncé le ministère français des Affaires étrangères.
M. Kouchner "vient de recevoir à sa demande son homologue tchadien Moussa Faki Mahamat de passage à Paris", a déclaré à la presse le porte-parole du Quai d'Orsay, Eric Chevallier.
Les deux ministres "ont exploré les actions diplomatiques pouvant être entreprises pour éviter une aggravation de la situation et les conséquences possibles sur la sécurité et la stabilité régionales", a-t-il poursuivi.
M. Chevallier a confirmé que les "groupes armés" venus lundi du Soudan voisin "étaient encore ce matin (mercredi) dans l'est du Tchad".
Des responsables de la rébellion ont pour leur part indiqué mercredi poursuivre leur "progression" à l'intérieur du Tchad avec pour "objectif final" N'Djamena.
La France, "attachée à la stabilité, la souveraineté et l'intégrité territoriale du Tchad, condamne fermement l'entrée en territoire tchadien de groupes armés venus du Soudan", a ajouté M. Chevallier.
La France participe avec 800 hommes à la Mission de l'ONU au Tchad et en Centrafrique (Minurcat). Elle dispose également de 1.150 militaires du dispositif français Epervier, déployé au Tchad pour une mission de formation et d'assistance logistique ou sanitaire à l'armée tchadienne.
M. Kouchner "vient de recevoir à sa demande son homologue tchadien Moussa Faki Mahamat de passage à Paris", a déclaré à la presse le porte-parole du Quai d'Orsay, Eric Chevallier.
Les deux ministres "ont exploré les actions diplomatiques pouvant être entreprises pour éviter une aggravation de la situation et les conséquences possibles sur la sécurité et la stabilité régionales", a-t-il poursuivi.
M. Chevallier a confirmé que les "groupes armés" venus lundi du Soudan voisin "étaient encore ce matin (mercredi) dans l'est du Tchad".
Des responsables de la rébellion ont pour leur part indiqué mercredi poursuivre leur "progression" à l'intérieur du Tchad avec pour "objectif final" N'Djamena.
La France, "attachée à la stabilité, la souveraineté et l'intégrité territoriale du Tchad, condamne fermement l'entrée en territoire tchadien de groupes armés venus du Soudan", a ajouté M. Chevallier.
La France participe avec 800 hommes à la Mission de l'ONU au Tchad et en Centrafrique (Minurcat). Elle dispose également de 1.150 militaires du dispositif français Epervier, déployé au Tchad pour une mission de formation et d'assistance logistique ou sanitaire à l'armée tchadienne.