LOCKERBIE, UN AUTRE MILOSEVIC A EVITER ?
Le libyen Al Megrahi condamné à vie dans une prison écossaise pour avoir télécommandé l’attentat de Lockerbie, a été libéré pour des raisons de santé. Cette décision de libérer cet agent libyen décider de concert par Londres et Edimbourg a suscité des grincements de dents.
Cette libération liée à un problème de santé indique que le libyen souffre d’un cancer de prostate dans sa phase terminale où il n’aura à vire que douze semaines. L’un des fils du guide libyen seif El Islam a affirmé dans une interview à une chaîne de Télévision libyenne que des accords commerciaux ont été paraphés entre la Libye et l’Ecosse pour que le libyen soit tiré d’affaires. Cette affirmation a été répliquée par un gros non.
Si l’agent libyen agonisant mourait en taule écossaise comme c’était le cas de Slobodan Milosevic, c’est un grand embarras avec des tapages médiatiques que pourrait soulever cette situation.
Ou alors une couverture de fortune à des marchandages de pétrole et du gaz libyens qui a prévalu. Tout peut alors se reposer sur la réelle volonté des autorités libyennes à mettre Al Mergahi à la résidence surveillée comme le réclame Washington qui est également concerné par cette affaire, car une partie des victimes de cet attentat au-dessus du village écossais Lockerbie en 1988 était des Américains.
Le libyen Al Megrahi condamné à vie dans une prison écossaise pour avoir télécommandé l’attentat de Lockerbie, a été libéré pour des raisons de santé. Cette décision de libérer cet agent libyen décider de concert par Londres et Edimbourg a suscité des grincements de dents.
Cette libération liée à un problème de santé indique que le libyen souffre d’un cancer de prostate dans sa phase terminale où il n’aura à vire que douze semaines. L’un des fils du guide libyen seif El Islam a affirmé dans une interview à une chaîne de Télévision libyenne que des accords commerciaux ont été paraphés entre la Libye et l’Ecosse pour que le libyen soit tiré d’affaires. Cette affirmation a été répliquée par un gros non.
Si l’agent libyen agonisant mourait en taule écossaise comme c’était le cas de Slobodan Milosevic, c’est un grand embarras avec des tapages médiatiques que pourrait soulever cette situation.
Ou alors une couverture de fortune à des marchandages de pétrole et du gaz libyens qui a prévalu. Tout peut alors se reposer sur la réelle volonté des autorités libyennes à mettre Al Mergahi à la résidence surveillée comme le réclame Washington qui est également concerné par cette affaire, car une partie des victimes de cet attentat au-dessus du village écossais Lockerbie en 1988 était des Américains.