Les armées congolaise, ougandaise et du Sud-Soudan affirment avoir détruit des camps des rebelles ougandais dans le parc de la Garamba, une région couverte de forêts à la frontière des trois pays.
Sous le coup d'un mandat d'arrêt international, le chef du mouvement, Joseph Kony ne s'est pas présenté récemment à la signature d'un projet d'accord de paix final en vue de mettre fin à un conflit de vingt ans avec le gouvernement ougandais.
Les forces armées ougandaises, congolaises et du Sud-Soudan ont annoncé dimanche avoir attaqué et détruit des camps de la LRA dans le parc de la Garamba du nord-est de la RDC.
Cette opération militaire conjointe a été révélée par Kampala tandis que de source onusienne, plusieurs centaines de soldats des forces spéciales ougandaises auraient en effet été déployées ce week-end dans la région de Dungu dans la province Orientale.
Le porte-parole militaire ougandais a indiqué que la première opération avait été conduite avec succès avant d'assurer que le camp principal des combattants de Kony avait été brulé.
Du côté congolais, le chef de l'état-major de l'armée a confirmé l'offensive mais n'a pas donné plus détails. Aucun bilan n'a, par ailleurs, été donné.
Fin novembre, le chef rebelle ougandais ne s'était pas rendu à la cérémonie organisée pour la signature d'un accord de paix final avec le gouvernement qu'il combat depuis deux décennies, une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts et près de deux millions de déplacés.
Installées dans le nord-est du Congo depuis 2005, les troupes de Joseph Kony sèment régulièrement la terreur dans la région frontalière avec le Sud-Soudan et la République centrafricaine.
Une cinquantaine de personnes ont été tuées et plus de 150 enfants ont été enlevés lorsque la LRA a attaqué une quinzaine de villages congolais au nord de Dungu fin septembre.
D'autres raids ont été menés depuis, faisant des milliers de déplacés dans la région.
Dans un communiqué publié à Kampala, les chefs des renseignements militaires congolais, ougandais et du Sud-Soudan indiquent que les opérations continuent contre les combattants de Joseph Kony, qu'ils qualifient de "terroristes".
Le but de l'offensive est d'éradiquer la LRA.
AFP
sadam
Sous le coup d'un mandat d'arrêt international, le chef du mouvement, Joseph Kony ne s'est pas présenté récemment à la signature d'un projet d'accord de paix final en vue de mettre fin à un conflit de vingt ans avec le gouvernement ougandais.
Les forces armées ougandaises, congolaises et du Sud-Soudan ont annoncé dimanche avoir attaqué et détruit des camps de la LRA dans le parc de la Garamba du nord-est de la RDC.
Cette opération militaire conjointe a été révélée par Kampala tandis que de source onusienne, plusieurs centaines de soldats des forces spéciales ougandaises auraient en effet été déployées ce week-end dans la région de Dungu dans la province Orientale.
Le porte-parole militaire ougandais a indiqué que la première opération avait été conduite avec succès avant d'assurer que le camp principal des combattants de Kony avait été brulé.
Du côté congolais, le chef de l'état-major de l'armée a confirmé l'offensive mais n'a pas donné plus détails. Aucun bilan n'a, par ailleurs, été donné.
Fin novembre, le chef rebelle ougandais ne s'était pas rendu à la cérémonie organisée pour la signature d'un accord de paix final avec le gouvernement qu'il combat depuis deux décennies, une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts et près de deux millions de déplacés.
Installées dans le nord-est du Congo depuis 2005, les troupes de Joseph Kony sèment régulièrement la terreur dans la région frontalière avec le Sud-Soudan et la République centrafricaine.
Une cinquantaine de personnes ont été tuées et plus de 150 enfants ont été enlevés lorsque la LRA a attaqué une quinzaine de villages congolais au nord de Dungu fin septembre.
D'autres raids ont été menés depuis, faisant des milliers de déplacés dans la région.
Dans un communiqué publié à Kampala, les chefs des renseignements militaires congolais, ougandais et du Sud-Soudan indiquent que les opérations continuent contre les combattants de Joseph Kony, qu'ils qualifient de "terroristes".
Le but de l'offensive est d'éradiquer la LRA.
AFP
sadam