N'DJAMENA (Tchad) - La Société Nationale d'Electricité (SNE) a affirmé que les capacités énergétiques sont considérablement réduites depuis près d'un mois. La production électrique s'est vu divisé par deux, passant de 30 mégawatts à moins de 15 mégawatts et l'eau devient rare, sa fourniture dépend de l'électricité.
Ces groupes électrogènes appartenant à l'ex-STEE (Société Tchadienne Eau et Électricité) sont pour certains en panne, brûlé ou en arrêt. Dans la capitale, plusieurs quartiers ne sont plus alimentés depuis près d'un mois malgré que la STE (Société Tchadienne Eau) fait un grand effort pour amener l'eau régulièrement.
Les groupes "Mitsubishi" étaient avant la crise en Libye entretenus par des techniciens Libyens. Des contacts ont été pris avec des Allemand et Égyptiens pour une intervention dans moins d'une semaine.
Ces groupes électrogènes appartenant à l'ex-STEE (Société Tchadienne Eau et Électricité) sont pour certains en panne, brûlé ou en arrêt. Dans la capitale, plusieurs quartiers ne sont plus alimentés depuis près d'un mois malgré que la STE (Société Tchadienne Eau) fait un grand effort pour amener l'eau régulièrement.
Les groupes "Mitsubishi" étaient avant la crise en Libye entretenus par des techniciens Libyens. Des contacts ont été pris avec des Allemand et Égyptiens pour une intervention dans moins d'une semaine.