Plusieurs sources ont affirmé à La Presse Canadienne que les deux parties s'étaient récemment entendues sur un quota suffisamment important pour permettre aux producteurs canadiens de viande de percer le marché européen, mais pas au point que leurs concurrents européens se sentent menacés.
Personne n'ose prendre la parole publiquement de crainte que l'entente tombe à l'eau, victime du marchandage qui caractérise habituellement les dernières rondes des négociations sur le commerce.
« Il semble qu'ils aient trouvé un terrain d'entente », a affirmé une personne au fait des discussions, qui s'est exprimée sous le couvert de l'anonymat.
Mais puisque la question du boeuf et du porc était de toute première importance aux yeux du Canada, des sources proches du dossier sont de plus en plus optimistes que l'accord qui échappait à Ottawa et à l'UE puisse enfin être à leur portée.
Jeudi, le ministre fédéral du Commerce international, Ed Fast, se trouvait en pleine région des éleveurs, en Alberta, vantant les mérites du gouvernement fédéral en matière d'accès au marché négocié pour l'industrie du boeuf. Il s'est même risqué à dire que seuls quelques obstacles restaient à franchir dans le cadre des négociations sur le libre-échange.
« Très, très peu de questions demeurent en suspens, a dit M. Fast dans le cadre d'un forum sur l'industrie du boeuf. Comme c'est le cas dans toutes les négociations, les questions les plus épineuses sont repoussées jusqu'à la toute fin. »
Le porte-parole de M. Fast, Adam Taylor, n'a pas voulu confirmer si une percée spécifique avait été faite, mais a affirmé que le Canada avait fait pression pour obtenir un meilleur accès au marché européen.
« Nous avons été très clairs sur ce point avec nos homologues européens, a indiqué M. Taylor, en entrevue vendredi. Si ce message a été reçu par nos homologues européens, c'est une bonne nouvelle qui permettra de faire avancer les négociations. »
Selon les sources, il subsiste plusieurs dossiers contentieux, notamment en ce qui a trait aux services financiers, aux appels d'offres, au fromage et au poisson.
Au cours des derniers mois, les parties ont porté les discussions au plus haut palier gouvernemental dans l'espoir de surmonter les blocages qui ont retardé la signature officielle d'un accord.
Des sources à Ottawa croient que le premier ministre Stephen Harper cherche à accumuler quelques réussites avant le discours du Trône, prévu pour le mois prochain.
Personne n'ose prendre la parole publiquement de crainte que l'entente tombe à l'eau, victime du marchandage qui caractérise habituellement les dernières rondes des négociations sur le commerce.
« Il semble qu'ils aient trouvé un terrain d'entente », a affirmé une personne au fait des discussions, qui s'est exprimée sous le couvert de l'anonymat.
Mais puisque la question du boeuf et du porc était de toute première importance aux yeux du Canada, des sources proches du dossier sont de plus en plus optimistes que l'accord qui échappait à Ottawa et à l'UE puisse enfin être à leur portée.
Jeudi, le ministre fédéral du Commerce international, Ed Fast, se trouvait en pleine région des éleveurs, en Alberta, vantant les mérites du gouvernement fédéral en matière d'accès au marché négocié pour l'industrie du boeuf. Il s'est même risqué à dire que seuls quelques obstacles restaient à franchir dans le cadre des négociations sur le libre-échange.
« Très, très peu de questions demeurent en suspens, a dit M. Fast dans le cadre d'un forum sur l'industrie du boeuf. Comme c'est le cas dans toutes les négociations, les questions les plus épineuses sont repoussées jusqu'à la toute fin. »
Le porte-parole de M. Fast, Adam Taylor, n'a pas voulu confirmer si une percée spécifique avait été faite, mais a affirmé que le Canada avait fait pression pour obtenir un meilleur accès au marché européen.
« Nous avons été très clairs sur ce point avec nos homologues européens, a indiqué M. Taylor, en entrevue vendredi. Si ce message a été reçu par nos homologues européens, c'est une bonne nouvelle qui permettra de faire avancer les négociations. »
Selon les sources, il subsiste plusieurs dossiers contentieux, notamment en ce qui a trait aux services financiers, aux appels d'offres, au fromage et au poisson.
Au cours des derniers mois, les parties ont porté les discussions au plus haut palier gouvernemental dans l'espoir de surmonter les blocages qui ont retardé la signature officielle d'un accord.
Des sources à Ottawa croient que le premier ministre Stephen Harper cherche à accumuler quelques réussites avant le discours du Trône, prévu pour le mois prochain.