Khalil Ibrahim entouré de ses proches à Doha.
DOHA (Qatar) - Les négociations ont finalement repris à Doha, dans la capitale qatarienne avec plusieurs groupes rebelles mineurs dont le MLJ qui pourrait parvenir prochainement a un accord de paix définitive avec le gouvernement.
Le refus des responsables du MJE (Mouvement pour la Justice et l'Egalité) qui ont décidé de ne pas venir participer aux négociations était prévisible après l'expulsion de son chef Khalil Ibrahim de plusieurs pays à la demande de Khartoum malgré son invitation aux pourparlers.
Le Ministre d'Etat qatari des Affaires étrangères, Ahmed ben Abdullah Al-Mahmoud, a exprimé son souhait de voir les parties pertinentes puissent "échanger leurs points de vue" à cette occasion, afin de réaliser la paix finale dans la région du Darfour, dans l'ouest du Soudan. Les pourparlers n'excluront aucune partie, a-t-il ajouté.
Un autre important groupe rebelle, l'Armée de libération du Soudan, a refusé jusqu'à ce jour de rejoindre le processus de paix initié par le gouvernement et les médiateurs
Le refus des responsables du MJE (Mouvement pour la Justice et l'Egalité) qui ont décidé de ne pas venir participer aux négociations était prévisible après l'expulsion de son chef Khalil Ibrahim de plusieurs pays à la demande de Khartoum malgré son invitation aux pourparlers.
Le Ministre d'Etat qatari des Affaires étrangères, Ahmed ben Abdullah Al-Mahmoud, a exprimé son souhait de voir les parties pertinentes puissent "échanger leurs points de vue" à cette occasion, afin de réaliser la paix finale dans la région du Darfour, dans l'ouest du Soudan. Les pourparlers n'excluront aucune partie, a-t-il ajouté.
Un autre important groupe rebelle, l'Armée de libération du Soudan, a refusé jusqu'à ce jour de rejoindre le processus de paix initié par le gouvernement et les médiateurs