En l’absence du chef de l’État à N’Djamena depuis dix jours, une certaine inquiétude s'est installée parmi la population. Répondant à ces préoccupations, le Président a tenu à clarifier sa position et sa présence prolongée en zone d'opérations.
“Il est de mon devoir de venir au Lac Tchad,” a-t-il déclaré, ajoutant : “Pour moi, il était très important de venir sur place pour être aux côtés des soldats, comprendre ce qui s’est passé et prendre des mesures. Pour prendre des décisions, il faut être sur le terrain.” Ces mots soulignent sa volonté de suivre de près l'évolution de l’opération et de rester solidaire avec les forces armées tchadiennes, engagées dans des combats intenses pour défendre la souveraineté nationale.
Conscient des inquiétudes que son absence suscite, le Président a réaffirmé sa détermination et sa foi : “Je sais que beaucoup de mes compatriotes sont inquiets à propos de mon déplacement. Je suis un homme de foi, et la mort est partout, que l’on soit à N'Djamena dans son bureau ou dans sa chambre, ou que l’on soit ici. Si l'heure est arrivée, on ne pourra pas y échapper.” Cette déclaration reflète la résolution du Président à prendre des risques aux côtés de ses soldats et sa conviction que son rôle implique une présence sur le terrain, malgré les dangers inhérents.
Évoquant le rôle régional de l’armée tchadienne, le Président Deby a également souligné un aspect qui préoccupe de nombreux Tchadiens : “À chaque fois qu'il y a des problèmes dans ces pays voisins, on déploie nos soldats. Ce n'est pas réciproque.” Une remarque qui met en lumière le dévouement et les sacrifices de l'armée tchadienne pour la sécurité régionale, tout en questionnant le manque de réciprocité dans le soutien des pays voisins.
Par cette intervention, le Président Mahamat Idriss Deby a rassuré une partie de la population, tout en affirmant sa détermination à diriger l'opération Haskanite sur le terrain, pour faire face aux menaces et soutenir les soldats qui défendent le pays.
“Il est de mon devoir de venir au Lac Tchad,” a-t-il déclaré, ajoutant : “Pour moi, il était très important de venir sur place pour être aux côtés des soldats, comprendre ce qui s’est passé et prendre des mesures. Pour prendre des décisions, il faut être sur le terrain.” Ces mots soulignent sa volonté de suivre de près l'évolution de l’opération et de rester solidaire avec les forces armées tchadiennes, engagées dans des combats intenses pour défendre la souveraineté nationale.
Conscient des inquiétudes que son absence suscite, le Président a réaffirmé sa détermination et sa foi : “Je sais que beaucoup de mes compatriotes sont inquiets à propos de mon déplacement. Je suis un homme de foi, et la mort est partout, que l’on soit à N'Djamena dans son bureau ou dans sa chambre, ou que l’on soit ici. Si l'heure est arrivée, on ne pourra pas y échapper.” Cette déclaration reflète la résolution du Président à prendre des risques aux côtés de ses soldats et sa conviction que son rôle implique une présence sur le terrain, malgré les dangers inhérents.
Évoquant le rôle régional de l’armée tchadienne, le Président Deby a également souligné un aspect qui préoccupe de nombreux Tchadiens : “À chaque fois qu'il y a des problèmes dans ces pays voisins, on déploie nos soldats. Ce n'est pas réciproque.” Une remarque qui met en lumière le dévouement et les sacrifices de l'armée tchadienne pour la sécurité régionale, tout en questionnant le manque de réciprocité dans le soutien des pays voisins.
Par cette intervention, le Président Mahamat Idriss Deby a rassuré une partie de la population, tout en affirmant sa détermination à diriger l'opération Haskanite sur le terrain, pour faire face aux menaces et soutenir les soldats qui défendent le pays.