Le chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, dans une vidéo où il évoque l'enlèvement des 233 jeunes filles, le 5 mai 2014. | AFP/HO
Les autorités tchadiennes et camerounaises ont indiqué que les lycéennes enlevées en avril au Nigeria par le groupe islamiste Boko Haram n'étaient pas dans leurs pays respectifs, contrairement à ce qu'a notamment indiqué le département d'Etat américain.
"Les informations selon lesquelles les 223 adolescentes enlevées par Boko Haram seraient vers le Tchad est sans fondement", déclare le ministère tchadien de la Communication dans un communiqué. "Des dispositions sont prises pour assurer la sécurité de nos frontières avec tous les pays voisins", souligne-t-il.