Le Tchad valide ses comptes nationaux définitifs 2017. © DR
L'Institut national de la statistique, des études économiques et démographiques a organisé ce mardi 2 avril à N'Djamena, un atelier de validation des comptes nationaux définitifs 2017. Les travaux ont été ouverts par le directeur général du ministère de l'Economie et de la Planification du développement, Houlé Djonkamla.
L'atelier visait à dresser le bilan des activités économiques des trois dernières années afin de mettre en balance les avancées, les failles, les perspectives, et d'avoir un regard prospectif dans le processus entamé par l’INSEED depuis quelques années.
"Un grand chantier est ouvert dans le cadre de la production des fonds nationaux. Ces travaux exigent des données de qualité par branche d'activité, secteur institutionnel en terme de production, de consommation, d'investissement, d'importation, d'exportation et d'emploi", a déclaré Nour Goukouni Nour, directeur général de l'INSEED.
Une baisse de 1,9% de l'économie tchadienne a été constaté en 2017, après une décroissance de 2,6% enregistrée en 2016. Cette situation s'explique en partie par les faibles performances du secteur primaire (-4,1%) et tertiaire (-1,1%). En revanche, le secteur secondaire a enregistré une croissance de 2,5%.
"L’INSEED s’est engagé à rattraper le retard accusé dans la production de ces comptes. Cet engagement soutenu par les plus hautes autorités du pays a permis d’arriver à ces résultats", a souligné le directeur général du ministère de l'Economie et de la Planification du développement, Houlé Djonkamla.
D'après lui, "pour mieux estimer la contribution de chaque secteur à l’économie, il est indispensable que tous les secteurs puissent fournir les données nécessaires."
Les techniciens en charge de la comptabilité des différents ministères sectoriels ont apporté des éclaircissements afin de parvenir à une meilleure harmonisation des comptes.
Des défis en matière de comptabilité
D'après le ministère de l'Economie et de la Planification du développement, plusieurs chantiers s’inscrivant dans un schéma de la maitrise du contexte macroéconomique sont actuellement en cours. Il s’agit notamment des travaux liés au changement de l’année de base et du passage au système de comptabilité national. Ces travaux qui sont soutenus techniquement et financièrement par le Banque Mondiale et le FMI demandent la participation de tous les acteurs fournisseurs et utilisateurs des données.
L'atelier visait à dresser le bilan des activités économiques des trois dernières années afin de mettre en balance les avancées, les failles, les perspectives, et d'avoir un regard prospectif dans le processus entamé par l’INSEED depuis quelques années.
"Un grand chantier est ouvert dans le cadre de la production des fonds nationaux. Ces travaux exigent des données de qualité par branche d'activité, secteur institutionnel en terme de production, de consommation, d'investissement, d'importation, d'exportation et d'emploi", a déclaré Nour Goukouni Nour, directeur général de l'INSEED.
Une baisse de 1,9% de l'économie tchadienne a été constaté en 2017, après une décroissance de 2,6% enregistrée en 2016. Cette situation s'explique en partie par les faibles performances du secteur primaire (-4,1%) et tertiaire (-1,1%). En revanche, le secteur secondaire a enregistré une croissance de 2,5%.
"L’INSEED s’est engagé à rattraper le retard accusé dans la production de ces comptes. Cet engagement soutenu par les plus hautes autorités du pays a permis d’arriver à ces résultats", a souligné le directeur général du ministère de l'Economie et de la Planification du développement, Houlé Djonkamla.
D'après lui, "pour mieux estimer la contribution de chaque secteur à l’économie, il est indispensable que tous les secteurs puissent fournir les données nécessaires."
Les techniciens en charge de la comptabilité des différents ministères sectoriels ont apporté des éclaircissements afin de parvenir à une meilleure harmonisation des comptes.
Des défis en matière de comptabilité
D'après le ministère de l'Economie et de la Planification du développement, plusieurs chantiers s’inscrivant dans un schéma de la maitrise du contexte macroéconomique sont actuellement en cours. Il s’agit notamment des travaux liés au changement de l’année de base et du passage au système de comptabilité national. Ces travaux qui sont soutenus techniquement et financièrement par le Banque Mondiale et le FMI demandent la participation de tous les acteurs fournisseurs et utilisateurs des données.