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"Le Tchad veut la paix" Présidence de la république
Tchad - Dans un article officiel publiée ce Lundi 2 février, la Présidence de la République dénonce Karthoum de ses "manoeuvres de déstabilisation".
"Depuis quelques jours, l’on constate que le régime de Khartoum ne cesse de vilipender notre pays, le Tchad et partant les plus hautes autorités de la République en dépit des accords de paix signés et de la normalisation des relations diplomatiques entre les deux Etats" dénonce la Présidence de la république
"Cette hargne des autorités soudanaises intervient curieusement, un an après les évènements douloureux des 2 et 3 Février 2008.Evènements aux cours desquels, le Soudan a envoyé sa horde de mercenaires de tout acabit pour déstabiliser le Tchad et les institutions républicaines. Un an après ces sanglants évènements aux conséquences incalculables et dont les stigmates sont encore visibles, l’on est en droit de s’interroger sur les agissements de Khartoum contre le Tchad", affirme la Présidence de la république.
"Les nouvelles manœuvres soudanaises laissent perplexe plus d’un observateur averti. Le Tchad, berceau de l’humanité accueille d’ailleurs plus de 300.000 réfugiés soudanais ayant fuit les atrocités du Général Al-Bachir au Darfour", poursuit la Présidence de la République
"Le problème soudanais, il faut le noter, est un conflit soudano-soudanais et doit trouver ses solutions au Soudan. Les escarmouches dans la localité d’Al –Madjiriya ne concerne en rien le Tchad et de surcroit les plus hauts responsables tchadiens, accusés de tous les maux par Khartoum" selon la Présidence de la République.
"Le Tchad, il faut le souligner, a toujours réitéré sa disponibilité à entretenir des relations saines et de bon voisinage avec tous les pays épris de paix et de justice. Il interpelle les pays membres du Groupe de contact en charge du suivi et de la mise en œuvre de l’accord de paix de Dakar et les dirigeants de l’Union africaine en conclave en ce moment à Addis-Abeba", conclu la Présidence de la République.
Présidence de la République
"Depuis quelques jours, l’on constate que le régime de Khartoum ne cesse de vilipender notre pays, le Tchad et partant les plus hautes autorités de la République en dépit des accords de paix signés et de la normalisation des relations diplomatiques entre les deux Etats" dénonce la Présidence de la république
"Cette hargne des autorités soudanaises intervient curieusement, un an après les évènements douloureux des 2 et 3 Février 2008.Evènements aux cours desquels, le Soudan a envoyé sa horde de mercenaires de tout acabit pour déstabiliser le Tchad et les institutions républicaines. Un an après ces sanglants évènements aux conséquences incalculables et dont les stigmates sont encore visibles, l’on est en droit de s’interroger sur les agissements de Khartoum contre le Tchad", affirme la Présidence de la république.
"Les nouvelles manœuvres soudanaises laissent perplexe plus d’un observateur averti. Le Tchad, berceau de l’humanité accueille d’ailleurs plus de 300.000 réfugiés soudanais ayant fuit les atrocités du Général Al-Bachir au Darfour", poursuit la Présidence de la République
"Le problème soudanais, il faut le noter, est un conflit soudano-soudanais et doit trouver ses solutions au Soudan. Les escarmouches dans la localité d’Al –Madjiriya ne concerne en rien le Tchad et de surcroit les plus hauts responsables tchadiens, accusés de tous les maux par Khartoum" selon la Présidence de la République.
"Le Tchad, il faut le souligner, a toujours réitéré sa disponibilité à entretenir des relations saines et de bon voisinage avec tous les pays épris de paix et de justice. Il interpelle les pays membres du Groupe de contact en charge du suivi et de la mise en œuvre de l’accord de paix de Dakar et les dirigeants de l’Union africaine en conclave en ce moment à Addis-Abeba", conclu la Présidence de la République.
Présidence de la République
