France, Paris - Le président tchadien qui poursuit sa visite privée dans la capitale française, Paris, s'est exprimé devant la presse et a répondu a plusieurs de leurs questions.
Il a été reçu hier par son homologue français Nicolas Sarkozy avec qui il a beaucoup discuté des derniers évènements visant la paix et la stabilité au Tchad.
"Nous avons signé des accords à Syrte en mai 2007. Ce sont eux (rebelles) qui ont violé ces accords, ce n'est pas le gouvernement tchadien" a affirmé le président tchadien Idriss Déby.
Interrogé sur la rébellion tchadienne, le président tchadien a été très clair et bref, "Je n'ai pas d'argent à distribuer, ni de postes à distribuer, ni quoi que ce soit, ces gens sont partis à l'aventure sans un but ou objectif politique précis", a-t-il répété.
Une délégation tchadienne dirigé par Abderahmane Moussa, le médiateur de la République du Tchad s'est rendu à Khartoum au Soudan il y a quelques jours dans le but d'établir des contacts avec la rébellion.
Une autre rencontre est finalement prévu d'ici quelques mois pour négocier le retour à la légalité des groupes armés.
Il a été reçu hier par son homologue français Nicolas Sarkozy avec qui il a beaucoup discuté des derniers évènements visant la paix et la stabilité au Tchad.
"Nous avons signé des accords à Syrte en mai 2007. Ce sont eux (rebelles) qui ont violé ces accords, ce n'est pas le gouvernement tchadien" a affirmé le président tchadien Idriss Déby.
Interrogé sur la rébellion tchadienne, le président tchadien a été très clair et bref, "Je n'ai pas d'argent à distribuer, ni de postes à distribuer, ni quoi que ce soit, ces gens sont partis à l'aventure sans un but ou objectif politique précis", a-t-il répété.
Une délégation tchadienne dirigé par Abderahmane Moussa, le médiateur de la République du Tchad s'est rendu à Khartoum au Soudan il y a quelques jours dans le but d'établir des contacts avec la rébellion.
Une autre rencontre est finalement prévu d'ici quelques mois pour négocier le retour à la légalité des groupes armés.