Fatimé Mahamat, formatrice à la Maison du Jeune du quartier N'djari souligne que cette pratique représente un véritable problème de santé publique en Afrique et au Tchad. Malgré les complications graves et parfois mortelles décrites par de nombreux auteurs africains, le phénomène ne semble pas régresser.
Elle met en garde contre les dangers extrêmes liés au changement artificiel de la couleur de la peau et appelle le gouvernement tchadien à prendre des mesures préventives pour mettre fin à cette pratique nocive. Il est crucial d'éduquer sur les risques associés à cette pratique et d'encourager l'acceptation et l'appréciation des différentes nuances naturelles de peau.
Elle met en garde contre les dangers extrêmes liés au changement artificiel de la couleur de la peau et appelle le gouvernement tchadien à prendre des mesures préventives pour mettre fin à cette pratique nocive. Il est crucial d'éduquer sur les risques associés à cette pratique et d'encourager l'acceptation et l'appréciation des différentes nuances naturelles de peau.