La Secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean condamne fermement les attaques lancées par des organisations criminelles terroristes contre le Mali, le 14 août 2017, à Douentza et Tombouctou, qui visaient tout particulièrement les opérations de maintien de la paix de l'ONU menées par la MINUSMA et ont fait neuf morts. Elle présente les plus sincères condoléances de la grande famille francophone aux autorités nationales des pays des victimes ainsi qu'aux familles, aux proches et aux équipes si durement éprouvées. Elle tient à saluer l'action des forces de défense et de sécurité maliennes et internationales qui ont su avec courage et efficacité riposter aux assaillants.
« Les concertations et les efforts menés actuellement de manière résolue par la communauté internationale pour lutter plus efficacement encore contre le terrorisme et la radicalisation violente devraient aboutir à des stratégies tactiques pour que cessent ces actes odieux, lâches et meurtriers. Les équipes de l'Organisation internationale de Ia Francophonie (OIF) sur place à New York étaient présentes à la réunion tenue aujourd'hui même au Conseil de sécurité des Nations unies, où il a été question de l'urgence de rendre opérationnelles les forces de sécurité communes des pays du G5 Sahel dont le Mali est membre », a déclaré la Secrétaire générale.
« L'enjeu est de taille, non seulement pour les pays de la région du Sahel constamment frappés, et l'on voit à quel point ces groupes terroristes en attaquant simultanément le Mali et le Burkina Faso cette semaine, veulent montrer leur capacité de nuisance, mais c'est aussi la sécurité du monde qui est mise en péril. La menace pèse sur nous tous et la communauté internationale doit s'engager et contribuer de manière conséquente au renforcement des dispositifs militaires nationaux et internationaux requis. L'OIF mobilise et rassemble largement, car la coordination des actions et la mutualisation des moyens y compris pour des mesures de prévention sont essentiel pour éradiquer durablement ces fléaux », a ajouté la Secrétaire générale.
« Les concertations et les efforts menés actuellement de manière résolue par la communauté internationale pour lutter plus efficacement encore contre le terrorisme et la radicalisation violente devraient aboutir à des stratégies tactiques pour que cessent ces actes odieux, lâches et meurtriers. Les équipes de l'Organisation internationale de Ia Francophonie (OIF) sur place à New York étaient présentes à la réunion tenue aujourd'hui même au Conseil de sécurité des Nations unies, où il a été question de l'urgence de rendre opérationnelles les forces de sécurité communes des pays du G5 Sahel dont le Mali est membre », a déclaré la Secrétaire générale.
« L'enjeu est de taille, non seulement pour les pays de la région du Sahel constamment frappés, et l'on voit à quel point ces groupes terroristes en attaquant simultanément le Mali et le Burkina Faso cette semaine, veulent montrer leur capacité de nuisance, mais c'est aussi la sécurité du monde qui est mise en péril. La menace pèse sur nous tous et la communauté internationale doit s'engager et contribuer de manière conséquente au renforcement des dispositifs militaires nationaux et internationaux requis. L'OIF mobilise et rassemble largement, car la coordination des actions et la mutualisation des moyens y compris pour des mesures de prévention sont essentiel pour éradiquer durablement ces fléaux », a ajouté la Secrétaire générale.