25 sahraouis sont accusés d'avoir tué 13 personnes, dont 11 membres des forces de l'ordre, dans le cadre du démantèlement d'un camp près de Laâyoune le 8 novembre 2010.
L'audience a débuté en fin de matinée. La salle du tribunal a fait le plein avec la présence des avocats, des proches des victimes et des accusés, des observateurs nationaux et étrangers, des journalistes, des policiers et sécurité en civil, etc.
Quelques brefs slogans ont été scandés suite à l'entrée des accusés dans le box vitré. Ceci n'a pas empêché l'audience de se dérouler sans incident notable jusqu'à la mi-journée.
Les débats ont été en arabe, puis traduits en français et en espagnol. Ils ont débuté autour de questions de procédure, avec ensuite la présentation des pièces à convictions : couteaux, haches, panneaux routiers, disques durs, et une ribambelle de téléphones portables sous cellophane.
Le 25 janvier dernier, lors de la dernière audience, la Cour avait reconnu sa compétence pour juger les accusés. Elle avait décidé de soumettre ces derniers à une expertise médicale et rejeté leur demande de mise en liberté provisoire.
Ab initio condamnés en 2013 par un tribunal militaire à des peines allant de 20 ans de réclusion à la perpétuité, les prévenus ont ensuite été présentés le 26 décembre 2016 devant une juridiction civile.
L'audience a débuté en fin de matinée. La salle du tribunal a fait le plein avec la présence des avocats, des proches des victimes et des accusés, des observateurs nationaux et étrangers, des journalistes, des policiers et sécurité en civil, etc.
Quelques brefs slogans ont été scandés suite à l'entrée des accusés dans le box vitré. Ceci n'a pas empêché l'audience de se dérouler sans incident notable jusqu'à la mi-journée.
Les débats ont été en arabe, puis traduits en français et en espagnol. Ils ont débuté autour de questions de procédure, avec ensuite la présentation des pièces à convictions : couteaux, haches, panneaux routiers, disques durs, et une ribambelle de téléphones portables sous cellophane.
Le 25 janvier dernier, lors de la dernière audience, la Cour avait reconnu sa compétence pour juger les accusés. Elle avait décidé de soumettre ces derniers à une expertise médicale et rejeté leur demande de mise en liberté provisoire.
Ab initio condamnés en 2013 par un tribunal militaire à des peines allant de 20 ans de réclusion à la perpétuité, les prévenus ont ensuite été présentés le 26 décembre 2016 devant une juridiction civile.