Dans le cadre de la préparation de la 13ème Conférence ministérielle de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), qui se tiendra en février 2024 aux Émirats Arabes Unis, le ministre camerounais du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana, a brillamment représenté le Groupe Africain lors d'une Mini-ministérielle virtuelle tenue ce 28 novembre 2023.
Cette réunion, qui a réuni les acteurs clés des questions liées au commerce dans les pays membres de l’OMC, vise à rechercher des compromis sur des questions cruciales, notamment celle de l'agriculture, en vue d'assurer le succès des échanges lors de la prochaine Conférence ministérielle.
En sa qualité de ministre du Commerce du Cameroun et de ministre coordonnateur du Groupe Africain de l'OMC, composé de 44 États-membres, Luc Magloire Mbarga Atangana a exposé la position du Groupe Africain sur cette problématique essentielle pour les nations africaines.
Le ministre a souligné que l'agriculture ne devait pas être traitée uniquement comme une question commerciale, mais qu'elle devait également prendre en compte l'aspect fondamental de la sécurité alimentaire, qui s'est révélé crucial lors des récentes crises mondiales, telles que la pandémie de Covid-19 et la crise en Ukraine.
Il a fait part de son inquiétude concernant la forte concentration de la production agricole dans certains États, exposant ainsi les risques d'une dépendance excessive aux importations alimentaires et d'une vulnérabilité accrue vis-à-vis des crises futures.
Selon lui, il est primordial que la 13ème Conférence ministérielle produise des résultats crédibles pour répondre efficacement aux défis mondiaux, en particulier ceux auxquels les économies en développement, notamment sur le continent africain, sont confrontées.
Luc Magloire Mbarga Atangana a souligné que se contenter d'un « mini-paquet », lors de la Conférence ministérielle, au détriment de mesures systémiques et durables permettant de traiter efficacement la sécurité alimentaire, décrédibiliserait l'OMC. Il a également reconnu que toutes les préoccupations ne pourraient pas être résolues avant la Conférence.
Cependant, il a insisté sur l'importance de donner la priorité aux mandats qui renforceraient la résilience des pays en développement, en particulier les Pays en Développement Importateurs Nets de Produits Agricoles (PDINPA) et les Pays Moins Avancés (PMA), face aux crises futures.
Cette réunion, qui a réuni les acteurs clés des questions liées au commerce dans les pays membres de l’OMC, vise à rechercher des compromis sur des questions cruciales, notamment celle de l'agriculture, en vue d'assurer le succès des échanges lors de la prochaine Conférence ministérielle.
En sa qualité de ministre du Commerce du Cameroun et de ministre coordonnateur du Groupe Africain de l'OMC, composé de 44 États-membres, Luc Magloire Mbarga Atangana a exposé la position du Groupe Africain sur cette problématique essentielle pour les nations africaines.
Le ministre a souligné que l'agriculture ne devait pas être traitée uniquement comme une question commerciale, mais qu'elle devait également prendre en compte l'aspect fondamental de la sécurité alimentaire, qui s'est révélé crucial lors des récentes crises mondiales, telles que la pandémie de Covid-19 et la crise en Ukraine.
Il a fait part de son inquiétude concernant la forte concentration de la production agricole dans certains États, exposant ainsi les risques d'une dépendance excessive aux importations alimentaires et d'une vulnérabilité accrue vis-à-vis des crises futures.
Selon lui, il est primordial que la 13ème Conférence ministérielle produise des résultats crédibles pour répondre efficacement aux défis mondiaux, en particulier ceux auxquels les économies en développement, notamment sur le continent africain, sont confrontées.
Luc Magloire Mbarga Atangana a souligné que se contenter d'un « mini-paquet », lors de la Conférence ministérielle, au détriment de mesures systémiques et durables permettant de traiter efficacement la sécurité alimentaire, décrédibiliserait l'OMC. Il a également reconnu que toutes les préoccupations ne pourraient pas être résolues avant la Conférence.
Cependant, il a insisté sur l'importance de donner la priorité aux mandats qui renforceraient la résilience des pays en développement, en particulier les Pays en Développement Importateurs Nets de Produits Agricoles (PDINPA) et les Pays Moins Avancés (PMA), face aux crises futures.