Nécrologie : Marcel Ntsourou repose en paix sous sa terre natale de Lagué
La bière où se trouvait son le corps sans vie de Marcel Ntsourou a quitté Brazzaville à bord d’un hélicoptère, le 27 février 2017 pour Lagué. C’est le directeur général de l’administration pénitentiaire, Jean Blaise Komo, au nom du gouvernement congolais qui a accompagné la dépouille mortelle.
Pourtant, depuis le 17 février, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. En effet, certains hommes politiques congolais en mal de popularité et au nom de leur rôle d’opposants, ont voulu faire de ce décès l’occasion de querelles politiciennes. Ils ont saisi l’occasion d’un triste et malheureux événements, non pour pleurer, mais pour tenter de déchirer le pays, ameutant les médias internationaux pour leur venir en aide. Sans rien vérifier, les médias français surtout ont bondi sur le sujet, avec à cœur le besoin de soulever les Congolais, en «faisant parler le mort » comme le disait le porte-parole du gouvernement congolais, Thierry Moungalla, au cours d’une conférence de presse.
A l’instar de ces médias, certaines ONG, voulant faire du Congo leur champ d’expérimentation de théories insurrectionnelles, se sont mêlées à la danse. Alors que Marcel Ntsourou n’a jamais été un homme politique, tous et toutes ont vu la mort d’un opposant en qualifiant sa mort de « suspecte » ou « d’assassinat politique ». Comme si les parents du défunt leur en avaient formulé la demande, ces ONG ont même réclamé, sur fond d’accusations, une enquête internationale. Effet de mode !
L’inhumation dans le calme, le 28 février dernier, de Marcel Ntsourou met ainsi un terme à la tension sociale que tous ceux-là ont voulu artificiellement créée. Cette agitation n’a si heureusement pas eu – comme elle ne devait pas avoir - raison de la sagesse, notamment de la famille éplorée qui n’a pas besoin de violer ses principes culturels, surtout pas sa dignité et celle son fils disparu inopinément, refusant simplement de demander à autopsier son corps.
Pourtant, depuis le 17 février, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. En effet, certains hommes politiques congolais en mal de popularité et au nom de leur rôle d’opposants, ont voulu faire de ce décès l’occasion de querelles politiciennes. Ils ont saisi l’occasion d’un triste et malheureux événements, non pour pleurer, mais pour tenter de déchirer le pays, ameutant les médias internationaux pour leur venir en aide. Sans rien vérifier, les médias français surtout ont bondi sur le sujet, avec à cœur le besoin de soulever les Congolais, en «faisant parler le mort » comme le disait le porte-parole du gouvernement congolais, Thierry Moungalla, au cours d’une conférence de presse.
A l’instar de ces médias, certaines ONG, voulant faire du Congo leur champ d’expérimentation de théories insurrectionnelles, se sont mêlées à la danse. Alors que Marcel Ntsourou n’a jamais été un homme politique, tous et toutes ont vu la mort d’un opposant en qualifiant sa mort de « suspecte » ou « d’assassinat politique ». Comme si les parents du défunt leur en avaient formulé la demande, ces ONG ont même réclamé, sur fond d’accusations, une enquête internationale. Effet de mode !
L’inhumation dans le calme, le 28 février dernier, de Marcel Ntsourou met ainsi un terme à la tension sociale que tous ceux-là ont voulu artificiellement créée. Cette agitation n’a si heureusement pas eu – comme elle ne devait pas avoir - raison de la sagesse, notamment de la famille éplorée qui n’a pas besoin de violer ses principes culturels, surtout pas sa dignité et celle son fils disparu inopinément, refusant simplement de demander à autopsier son corps.