Le président de la République, Denis Sassou N’Guesso qui présidait la réunion du Conseil des ministres a demandé au gouvernement de tout mettre en œuvre pour que l’accord signé soit approuvé par le parlement, dans les plus brefs délais. Le chef de l’Etat qui a félicité le gouvernement pour l’aboutissement des négociations qui ont duré deux ans, selon le conseil des ministres.
En ces temps difficiles où l’économie congolaise est étranglée par la crise et où le pays attend la conclusion d’un accord avec le Fonds monétaire international, la restructuration de la dette congolaise par la Chine revêt un double sens.
En effet l’accord paraphé, le 29 avril 2019 par les deux parties, en Chine, est très déterminant pour le Congo. D’une part, il augure des perspectives intéressantes quant à la suite des négociations avec les partenaires techniques et financiers, notamment le Fonds monétaire internationale et la Banque mondiale, a fait savoir le gouvernement. D’autre part, cet accord confirme la fidélité de l’amitié et la solidité des relations entre la Chine et le Congo.
Denis Sassou N’Guesso a saisi l’occasion pour interpeller le gouvernement à qui il a demandé de « capitaliser la confiance et la reconnaissance » que les partenaires bilatéraux et multilatéraux vouent au Congo, « pour relever les nombreux défis qui se dressent devant lui ».
A noter que l’accord a été paraphé, côté congolais par Calixte Nganongo, ministre des Finances et du budget et, côté chinois par Peng Hao, chef de département du crédit souverain auprès d’Export et Import Bank de Chine, Exim Bank. Le ministre de l’Aménagement, de l’équipement du territoire, des grands travaux, Jean Jacques Bouya, l’ambassadeur plénipotentiaire de la République du Congo en République Populaire de Chine, Daniel Owassa, ont assisté à cette signature.
En ces temps difficiles où l’économie congolaise est étranglée par la crise et où le pays attend la conclusion d’un accord avec le Fonds monétaire international, la restructuration de la dette congolaise par la Chine revêt un double sens.
En effet l’accord paraphé, le 29 avril 2019 par les deux parties, en Chine, est très déterminant pour le Congo. D’une part, il augure des perspectives intéressantes quant à la suite des négociations avec les partenaires techniques et financiers, notamment le Fonds monétaire internationale et la Banque mondiale, a fait savoir le gouvernement. D’autre part, cet accord confirme la fidélité de l’amitié et la solidité des relations entre la Chine et le Congo.
Denis Sassou N’Guesso a saisi l’occasion pour interpeller le gouvernement à qui il a demandé de « capitaliser la confiance et la reconnaissance » que les partenaires bilatéraux et multilatéraux vouent au Congo, « pour relever les nombreux défis qui se dressent devant lui ».
A noter que l’accord a été paraphé, côté congolais par Calixte Nganongo, ministre des Finances et du budget et, côté chinois par Peng Hao, chef de département du crédit souverain auprès d’Export et Import Bank de Chine, Exim Bank. Le ministre de l’Aménagement, de l’équipement du territoire, des grands travaux, Jean Jacques Bouya, l’ambassadeur plénipotentiaire de la République du Congo en République Populaire de Chine, Daniel Owassa, ont assisté à cette signature.