Cette situation leur permet de s’en mettre plein les poches, de se goinfrer sans pitié sur les restes de notre pays à l’agonie. Nourredine Adam, car c’est bien de lui qu’il est question, est ce prédateur affreux, cette hyène tapie dans l’ombre qui dévore sans pitié les enfants de Centrafrique. Mais qui ferait confiance à un homme écrasé par le poids de la justice internationale, qui a fuit à l’étranger et qui vit grand train, entretenu par les pillages et le racket des marionnettes du FPRC qui sévissent à l’Est et au Nord du Pays ? Quel combattant ayant déjà servi dans les rangs de Nourredine Adam risquerait à nouveau sa vie pour une cause à laquelle plus personne ne croit … Partitionner le pays !
Tous les centrafricains ont compris que la violence engendrait la violence et que la solution passerait obligatoirement par la réconciliation.
L’UPC, comme le RPRC, semblent pourtant montrer l’exemple puisque leur démarche politique au forum de Bangui indiquait une volonté réelle de se tourner vers la solution du dialogue. Ils ont compris ce qu’ils ont à y gagner pour la reconversion de leurs éléments et de leurs chefs militaires : se lancer dans l’action politique au profit de leurs peuples et de leurs intérêts particuliers au Nord Est du pays. Ils entreront au gouvernement et dans toutes les instances administratives.
Ils participeront à la vie du pays et à son développement. Ils ont déjà déposé des projets très intéressants. Et sur son île, Nourredine Adam et le FPRC sont bien seuls, sans avenir et sans projet, hormis de vouloir couper le pays en deux et de se faire une petite mangeoire pour une poignée de goinfres.
Les grands états frontaliers qui auraient pu, en d’autres temps, lui apporter un soutien logistique ou financier, ont aujourd’hui trop à perdre, en soutenant Nourredine Adam dans des desseins dévastateurs pour la région et pour eux-mêmes. C’est un véritable appel à la raison qui s’offre aujourd’hui à N Adam. Pourquoi refuse-t-il les mains tendues ? Si le chao touchait à nouveau notre pays, il en serait responsable, et ceux qui le soutiendraient seraient ses complices. Ils devront rendre des comptes devant la justice internationale.
A ceux qui seraient tentés par les démons de la violence, ne finissez pas comme lui, exilés loin des siens, en cavale comme un vulgaire brigand ou en prison rejeté par tout un peuple. Ne soyez pas tentés par les sirènes d’un opportuniste, par les promesses d’un homme qui n’ose même pas revenir au pays pour s’expliquer quand tant d’autres l’ont fait. Pourtant, il n’est pas trop tard pour le dialogue, il n’est jamais trop tard pour l’agneau perdu de retrouver son troupeau.
BK
Tous les centrafricains ont compris que la violence engendrait la violence et que la solution passerait obligatoirement par la réconciliation.
L’UPC, comme le RPRC, semblent pourtant montrer l’exemple puisque leur démarche politique au forum de Bangui indiquait une volonté réelle de se tourner vers la solution du dialogue. Ils ont compris ce qu’ils ont à y gagner pour la reconversion de leurs éléments et de leurs chefs militaires : se lancer dans l’action politique au profit de leurs peuples et de leurs intérêts particuliers au Nord Est du pays. Ils entreront au gouvernement et dans toutes les instances administratives.
Ils participeront à la vie du pays et à son développement. Ils ont déjà déposé des projets très intéressants. Et sur son île, Nourredine Adam et le FPRC sont bien seuls, sans avenir et sans projet, hormis de vouloir couper le pays en deux et de se faire une petite mangeoire pour une poignée de goinfres.
Les grands états frontaliers qui auraient pu, en d’autres temps, lui apporter un soutien logistique ou financier, ont aujourd’hui trop à perdre, en soutenant Nourredine Adam dans des desseins dévastateurs pour la région et pour eux-mêmes. C’est un véritable appel à la raison qui s’offre aujourd’hui à N Adam. Pourquoi refuse-t-il les mains tendues ? Si le chao touchait à nouveau notre pays, il en serait responsable, et ceux qui le soutiendraient seraient ses complices. Ils devront rendre des comptes devant la justice internationale.
A ceux qui seraient tentés par les démons de la violence, ne finissez pas comme lui, exilés loin des siens, en cavale comme un vulgaire brigand ou en prison rejeté par tout un peuple. Ne soyez pas tentés par les sirènes d’un opportuniste, par les promesses d’un homme qui n’ose même pas revenir au pays pour s’expliquer quand tant d’autres l’ont fait. Pourtant, il n’est pas trop tard pour le dialogue, il n’est jamais trop tard pour l’agneau perdu de retrouver son troupeau.
BK