Depuis un peu plus d’un mois, la constitution du 20 janvier 2002 est évoquée au passé. Elle a été abrogée par la nouvelle qui a été promulguée par le président de la République le 6 novembre dernier, quelques jours après son adoption par le peuple au terme d'un référendum qui a eu lieu le 25 octobre 2015
Faisant passer le Congo de la 10ème à la 11ème République, l’abrogation de la constitution du 20 janvier 2002 constituait en même temps la signature de l’acte de naissance de la nouvelle République. Le fonctionnement de la République du Congo est régi depuis le 6 novembre 2015 par la Constitution du 06 novembre.
Cela implique une adaptation des institutions issues de la 9è République aux dispositions des la nouvelle loi fondamentale.
Depuis la promulgation de la nouvelle constitution, dont l’article 246 stipule : « la présente loi, qui entre en vigueur dès sa promulgation, sera exécutée comme constitution de la République du Congo », les Congolais ne voient rien venir dans ce sens, alors que la même constitution précise que «les institutions issues de la constitution du 20 janvier 2002 fonctionnent jusqu'à la mise en place des nouvelles institutions, sans pouvoir dépasser, pour les institutions pourvues par voie élective, l'expiration de leur mandat » (article 244).
Ainsi, la presse qui fait l’interface entre le questionnement de la population et les réponses des gouvernants n’a pas hésité à poser la question au chef de l’Etat qui revenait de Johannesburg en Afrique du Sud où il avait pris part au forum de coopération Chine-Afrique.
Et, Denis Sassou N’Guesso a saisi l’occasion pour rassurer ses compatriotes : « j’aurai l’occasion de m’exprimer plus au fond sur cette question, sûrement, avant la fin de ce mois. En tout état de cause, la nouvelle constitution devrait être mise en œuvre pour qu’il ait des institutions, toutes les institutions au fur et à mesure, en adéquation avec l’esprit et la lettre de la nouvelle constitution. Mais, j’aurai l’occasion de m’exprimer sur cette question plus en profondeur avant la fin de l’année. »
Impatients de savoir ce que dira le Chef de l’Etat, les Congolaises et Congolais attendent cette intervention du chef de l’Etat avant son message traditionnel de fin d’année, le 31 décembre.
Faisant passer le Congo de la 10ème à la 11ème République, l’abrogation de la constitution du 20 janvier 2002 constituait en même temps la signature de l’acte de naissance de la nouvelle République. Le fonctionnement de la République du Congo est régi depuis le 6 novembre 2015 par la Constitution du 06 novembre.
Cela implique une adaptation des institutions issues de la 9è République aux dispositions des la nouvelle loi fondamentale.
Depuis la promulgation de la nouvelle constitution, dont l’article 246 stipule : « la présente loi, qui entre en vigueur dès sa promulgation, sera exécutée comme constitution de la République du Congo », les Congolais ne voient rien venir dans ce sens, alors que la même constitution précise que «les institutions issues de la constitution du 20 janvier 2002 fonctionnent jusqu'à la mise en place des nouvelles institutions, sans pouvoir dépasser, pour les institutions pourvues par voie élective, l'expiration de leur mandat » (article 244).
Ainsi, la presse qui fait l’interface entre le questionnement de la population et les réponses des gouvernants n’a pas hésité à poser la question au chef de l’Etat qui revenait de Johannesburg en Afrique du Sud où il avait pris part au forum de coopération Chine-Afrique.
Et, Denis Sassou N’Guesso a saisi l’occasion pour rassurer ses compatriotes : « j’aurai l’occasion de m’exprimer plus au fond sur cette question, sûrement, avant la fin de ce mois. En tout état de cause, la nouvelle constitution devrait être mise en œuvre pour qu’il ait des institutions, toutes les institutions au fur et à mesure, en adéquation avec l’esprit et la lettre de la nouvelle constitution. Mais, j’aurai l’occasion de m’exprimer sur cette question plus en profondeur avant la fin de l’année. »
Impatients de savoir ce que dira le Chef de l’Etat, les Congolaises et Congolais attendent cette intervention du chef de l’Etat avant son message traditionnel de fin d’année, le 31 décembre.