Les relations entre le pouvoir et l'opposition au Congo Brazzaville sont au beau fixe. Le premier contact entre le chef de file de l'opposition et le président congolais a été plus que fructueux, comme en témoigne Tsaty Mabiala, après son échange avec Denis Sassou N'Guesso. Pour lui, c'est un grand honneur d'être reçu en qualité de chef de l'opposition congolaise.
Interrogé par la presse sur les critiques dont il fait l'objet de la part du collège de l'opposition , le secrétaire général de l'Upads a répondu qu'Il ne se passe rien avant de marteler ". Celui qui a la mission de rassembler, ne tombe pas dans les querelles de caniveau. Les règles du jeu étaient connues. C’est pour la première fois dans notre et avec quelle élégance nous avons adopté la loi qui, aujourd’hui, institue un statut de l’opposition. Celui qui en avait l’ambition, il n’avait qu’à se présenter aux élections législatives, parce que c’est celles-là qui donnent le nombre des députés."
Il a, par ailleurs, invité ses détracteurs à la raison tout en s'interrogeant: " ...vous n’avez pas des députés et comment on vous reconnaîtra comme chef de l’opposition ? Comme on dit en politique, ce n’est pas ce que vous êtes, c’est ce que vous avez."
et d'ajouter "J’ai entendu par vos confrères des médias que Tsaty Mabiala a été nommé par le président de la République...Je n’aurai jamais accepté d’être nommé à une fonction politique comme celle-ci... Il y a eu une loi en application de la constitution qui a prévu des mécanismes, les critères pour y arriver.. Avant d’aller aux élections législatives, les règles du jeu étaient connues... Donc, celui qui rassemble ne peut pas rentrer dans les querelles, sinon, il tombe si bat.
Déclinant l'objet de son échange, à la presse, avec Denis Sassou N'Guesso, le secrétaire général de l'Upads a indiqué qu' il était de son droit " de demander à l’endroit du président de la République, un certain nombre des questions, notamment la crise économique et financière qui n’est pas encore résorbée, la paix dans le Pool qui n’est pas encore effective." Sur cette question du Pool, il reconnu qu’il y a eu des avancées significatives, mais pense-t-il, " nous voulons que ça aille encore plus loin(..) pour que les populations du Pool retrouvent la quiétude : que les enfants aillent à l’école, les mamans vaquent à leurs occupations champêtres, etc."
Au sujet de la crise économique qui est encore là, Tsaty Mabiala a évoqué avec. le président les reformes qui sont engagées et aussi des questions de droit de l’homme car, selon lui, " notre pays est souvent cité comme tant des pays qui ne respectent pas les libertés." Le chef de fil de l'opposition congolaise dit avoir " échangé avec le président sur ces questions pour que les efforts soient faits dans le cadre des libertés et des droits de l’homme."
Cet échange, dit-il, lui a permis de réaffirmer son attachement " aux valeurs de la République, aux valeurs de la démocratie" et de de poursuivre " mais aussi j’ai comme exalté nos droits à la différence qui font d’ailleurs notre appartenance à l’opposition. C’est le premier contact que j’ai eu avec le président de la République et ce n’est pas le dernier et je crois que, prochainement, avec tous le collège de l’opposition."
Abordant la question du Pool, ce dernier a précisé qu'Il n’y a pas une implication de l’opposition, du gouvernement. Au président congolais, Tsaty Mabiala a émis le vœu de voir l’opposition être associée à toutes ces étapes conduisant vers une paix réelle dans le Pool .Il a expliqué qu'il " n’est pas question de regarder d’un côté ce qui doit faire l’opposition seule, mais il s’agit de regarder ce que la nation et l’Etat font et avec l’opposition à l’intérieur."
Pour lui , la commission paritaire qui a été mise en place (membres de l’Etat, civiles et militaires, et les représentants de Ntumi), " c’est celle qui est en train de travailler aujourd’hui" et de conclure " ... à la 2ème et 3ème phase, cette commission va s’ouvrir au monde politique que nous sommes et l’opposition trouvera sa place. C’est ensemble que nous devons aller vers la conclusion d’une paix réelle et profonde dans le Pool. "
Interrogé par la presse sur les critiques dont il fait l'objet de la part du collège de l'opposition , le secrétaire général de l'Upads a répondu qu'Il ne se passe rien avant de marteler ". Celui qui a la mission de rassembler, ne tombe pas dans les querelles de caniveau. Les règles du jeu étaient connues. C’est pour la première fois dans notre et avec quelle élégance nous avons adopté la loi qui, aujourd’hui, institue un statut de l’opposition. Celui qui en avait l’ambition, il n’avait qu’à se présenter aux élections législatives, parce que c’est celles-là qui donnent le nombre des députés."
Il a, par ailleurs, invité ses détracteurs à la raison tout en s'interrogeant: " ...vous n’avez pas des députés et comment on vous reconnaîtra comme chef de l’opposition ? Comme on dit en politique, ce n’est pas ce que vous êtes, c’est ce que vous avez."
et d'ajouter "J’ai entendu par vos confrères des médias que Tsaty Mabiala a été nommé par le président de la République...Je n’aurai jamais accepté d’être nommé à une fonction politique comme celle-ci... Il y a eu une loi en application de la constitution qui a prévu des mécanismes, les critères pour y arriver.. Avant d’aller aux élections législatives, les règles du jeu étaient connues... Donc, celui qui rassemble ne peut pas rentrer dans les querelles, sinon, il tombe si bat.
Déclinant l'objet de son échange, à la presse, avec Denis Sassou N'Guesso, le secrétaire général de l'Upads a indiqué qu' il était de son droit " de demander à l’endroit du président de la République, un certain nombre des questions, notamment la crise économique et financière qui n’est pas encore résorbée, la paix dans le Pool qui n’est pas encore effective." Sur cette question du Pool, il reconnu qu’il y a eu des avancées significatives, mais pense-t-il, " nous voulons que ça aille encore plus loin(..) pour que les populations du Pool retrouvent la quiétude : que les enfants aillent à l’école, les mamans vaquent à leurs occupations champêtres, etc."
Au sujet de la crise économique qui est encore là, Tsaty Mabiala a évoqué avec. le président les reformes qui sont engagées et aussi des questions de droit de l’homme car, selon lui, " notre pays est souvent cité comme tant des pays qui ne respectent pas les libertés." Le chef de fil de l'opposition congolaise dit avoir " échangé avec le président sur ces questions pour que les efforts soient faits dans le cadre des libertés et des droits de l’homme."
Cet échange, dit-il, lui a permis de réaffirmer son attachement " aux valeurs de la République, aux valeurs de la démocratie" et de de poursuivre " mais aussi j’ai comme exalté nos droits à la différence qui font d’ailleurs notre appartenance à l’opposition. C’est le premier contact que j’ai eu avec le président de la République et ce n’est pas le dernier et je crois que, prochainement, avec tous le collège de l’opposition."
Abordant la question du Pool, ce dernier a précisé qu'Il n’y a pas une implication de l’opposition, du gouvernement. Au président congolais, Tsaty Mabiala a émis le vœu de voir l’opposition être associée à toutes ces étapes conduisant vers une paix réelle dans le Pool .Il a expliqué qu'il " n’est pas question de regarder d’un côté ce qui doit faire l’opposition seule, mais il s’agit de regarder ce que la nation et l’Etat font et avec l’opposition à l’intérieur."
Pour lui , la commission paritaire qui a été mise en place (membres de l’Etat, civiles et militaires, et les représentants de Ntumi), " c’est celle qui est en train de travailler aujourd’hui" et de conclure " ... à la 2ème et 3ème phase, cette commission va s’ouvrir au monde politique que nous sommes et l’opposition trouvera sa place. C’est ensemble que nous devons aller vers la conclusion d’une paix réelle et profonde dans le Pool. "