Ce n’est pas une cache d’armes énorme. Seulement 35 fusils mitrailleurs et du matériel de communication tels que des radios et deux téléphones satellitaires. Mais pour l’armée ougandaise, c’est déjà une belle prise, car depuis le début de son offensive contre les bases des rebelles de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), dans le nord-est du Congo il y a huit jours, elle n’avait rien trouvé.
Six présumés camps rebelles avaient été bombardés puis fouillés. Mais le chef rebelle, Joseph Kony, ainsi que ses commandants et ses troupes, demeurent introuvables. C’est ce qu’affirme l’armée ougandaise, qui a fermé tout accès aux zones de combat depuis le début de cette offensive.
Le chef rebelle, Joseph Kony, aurait-il été averti que l’armée ougandaise allait le bombarder au mépris du processus de paix ? C’est ce que soutient l’un des principaux quotidiens en Ouganda, The Monitor.
Cependant, la crainte d’une contre-attaque des rebelles grandit au sud-Soudan, au nord de l’Ouganda et même en république centrafricaine. Selon le quotidien soudanais, Sudan Tribune, deux personnes auraient été tuées, jeudi dernier, par des rebelles de la LRA, dans la localité de Toré, au Congo, frontalière avec le sud-Soudan.
Six présumés camps rebelles avaient été bombardés puis fouillés. Mais le chef rebelle, Joseph Kony, ainsi que ses commandants et ses troupes, demeurent introuvables. C’est ce qu’affirme l’armée ougandaise, qui a fermé tout accès aux zones de combat depuis le début de cette offensive.
Le chef rebelle, Joseph Kony, aurait-il été averti que l’armée ougandaise allait le bombarder au mépris du processus de paix ? C’est ce que soutient l’un des principaux quotidiens en Ouganda, The Monitor.
Cependant, la crainte d’une contre-attaque des rebelles grandit au sud-Soudan, au nord de l’Ouganda et même en république centrafricaine. Selon le quotidien soudanais, Sudan Tribune, deux personnes auraient été tuées, jeudi dernier, par des rebelles de la LRA, dans la localité de Toré, au Congo, frontalière avec le sud-Soudan.