Lentement et sûrement, le procès Jean Martin Mbemba s’achemine vers sa fin. Les réquisitions et les plaidoiries ont été fixées au 31 mai 2018, après la déposition du colonel Jean Claude Bango, ancien directeur départemental de la police dans le département du Pool.
Au septième jour du procès, ce 30 mai, la cour criminelle a jugé défavorable la stratégie de défense adoptée par les co-accusés devant la barre. En effet, les principaux chefs d’inculpation à leur charge, à savoir atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat, détention illégale d’armes et munitions de guerre et vol qualifié ont été rejetés en bloc par ces derniers qui ont même mis en cause les déclarations, en bonne et due forme, faites à l’enquête préliminaire auprès de la police et du juge d’instruction.
La cour qui a promis tirer toutes les conséquences a estimé qu' une telle attitude ne permet pas la manifestation de la vérité. Certainement, la cour ne retiendra pas également grand-chose de la déposition du colonel Jean Claude Bango prévue, ce 31 mai avant les réquisitions du ministère public et les plaidoiries des avocats.
Pour ce 30 juin, l’instruction s’est poursuivie avec les dépositions de Tekanima Mahoungou, ancien directeur des affaires financières à la primature et Ismaël, appelé à la barre à titre de témoin et l'accusé Ghislain Mabari, gendarme de son état, qui a tout nié sur les questions de la cour, du ministère public et de la partie civile. Des déclarations faites sur l’existence des armes saisie provenant du domicile de Jean Martin Mbemba, sur plan concocté sur la libération des prisonniers à la maison d’arrêt de Brazzaville et de ses relations avec Jean Martin Mbemba. Le prévenu a tout nié en bloc.
Mais, une chose est vraie, dans les dépositions des co-accusés, il ya des informations qui se recoupent, ce qui laisse prévaloir la thèse, bel et bien , d’un éventuel coup préparé pour le renversement des institutions de l’Etat.
A noter que, le procès Jean Martin Mbemba qui a débuté, le 23 mai dernier, connaîtra sans doute son épilogue les premiers jours du mois de juin. .
Au septième jour du procès, ce 30 mai, la cour criminelle a jugé défavorable la stratégie de défense adoptée par les co-accusés devant la barre. En effet, les principaux chefs d’inculpation à leur charge, à savoir atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat, détention illégale d’armes et munitions de guerre et vol qualifié ont été rejetés en bloc par ces derniers qui ont même mis en cause les déclarations, en bonne et due forme, faites à l’enquête préliminaire auprès de la police et du juge d’instruction.
La cour qui a promis tirer toutes les conséquences a estimé qu' une telle attitude ne permet pas la manifestation de la vérité. Certainement, la cour ne retiendra pas également grand-chose de la déposition du colonel Jean Claude Bango prévue, ce 31 mai avant les réquisitions du ministère public et les plaidoiries des avocats.
Pour ce 30 juin, l’instruction s’est poursuivie avec les dépositions de Tekanima Mahoungou, ancien directeur des affaires financières à la primature et Ismaël, appelé à la barre à titre de témoin et l'accusé Ghislain Mabari, gendarme de son état, qui a tout nié sur les questions de la cour, du ministère public et de la partie civile. Des déclarations faites sur l’existence des armes saisie provenant du domicile de Jean Martin Mbemba, sur plan concocté sur la libération des prisonniers à la maison d’arrêt de Brazzaville et de ses relations avec Jean Martin Mbemba. Le prévenu a tout nié en bloc.
Mais, une chose est vraie, dans les dépositions des co-accusés, il ya des informations qui se recoupent, ce qui laisse prévaloir la thèse, bel et bien , d’un éventuel coup préparé pour le renversement des institutions de l’Etat.
A noter que, le procès Jean Martin Mbemba qui a débuté, le 23 mai dernier, connaîtra sans doute son épilogue les premiers jours du mois de juin. .