Un soldat français fouille un ex-Séléka à Bangui, lors des débuts de l'opération Sangaris. © XAVIER YVON/EUROPE1
CENTRAFRIQUE - Les soldats français de l'opération Sangaris ont commencés depuis hier à opérer des fouilles et désarmer toutes personnes portant d'armes à feu ou armes blanches, suite à des pressions de la Présidente de la Transition, Cathérine Samba Panza et du Syndicat des Travailleurs afin d'accélérer la reprise du travail.
Véritable soutien des milices "Anti-balaka", l'armée française a bouclé hier le quartier Miskine pour filtrer toutes les sorties au niveau de Marabéna.
Samedi dernier, la CEEAC (Communauté Economique des Etats de l'Afrique Centrale) a appelée l'opération française Sangaris à plus "d'impartialité" dans les désarmements.
Par ailleurs, un Général français à la retraite -et sous couvert de l'anonymat- a affirmé à LNC que "on a envoyé nos gars là-bas pour taper du musulman".
Véritable soutien des milices "Anti-balaka", l'armée française a bouclé hier le quartier Miskine pour filtrer toutes les sorties au niveau de Marabéna.
Samedi dernier, la CEEAC (Communauté Economique des Etats de l'Afrique Centrale) a appelée l'opération française Sangaris à plus "d'impartialité" dans les désarmements.
Par ailleurs, un Général français à la retraite -et sous couvert de l'anonymat- a affirmé à LNC que "on a envoyé nos gars là-bas pour taper du musulman".