Les travaux de la première réunion du Comité de pilotage du programme de Désarmement Démobilisation et Réinsertion (DDR) en République Centrafricaine se sont achevés le 5 février dernier à Bangui. Ils marquent l’amorce effective du processus de stabilisation politique durable du pays et de relance de son programme de développement.
Sous la présidence du représentant résident du Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), Steven Ursino, ces travaux de deux jours ont permis aux participants de s’entendre sur le lancement du premier volet du programme, consacré l’identification et au recensement des ex-combattants dans les zones concernées.
«C’est un processus qui doit bien cibler les groupes politico-militaires et ensemble, nous allons procéder à la mise en œuvre de toutes les étapes nécessaires pour que ce programme DDR soit un succès total», a déclaré Steven Ursino à la clôture des assises.
Jean Jacques Démafouth, premier vice-président du Comité du pilotage et représentant des groupes rebelles, a réitéré la volonté de la partie qu’il représente d’œuvrer pour la pacification durable du pays en vue de la relance des activités développement.
«Nous souhaitons que ce programme DDR puisse être l’occasion ultime pour permettre à notre pays de panser les plaies du passé et de s’occuper des combattants, de les former afin de les reconvertir vers des métiers», a expliqué l’ancien chef rebelle.
Le 2e vice-président du Comité du pilotage, le ministre d’Etat Cyriaque Gonda, a salué le bon déroulement des assises et le soutien de la communauté internationale au processus de paix en RCA.
«Nous sommes en train d’assister à l’écriture de l’histoire de notre pays, parce que les choses sont en train d’avancer vers la pacification de notre pays et le peuple se retourne vers sa préoccupation de développement», a salué le ministre d’Etat Cyriaque Gonda.
«Nous sommes en train de nous réorienter vers la pacification des provinces afin de leur donner l’opportunité de pouvoir rétablir l’autorité de l’Etat et travailler pour le développement de notre pays», a conclu le ministre d’Etat centrafricain, représentant du pouvoir.
La Banque Mondiale, la Commission Européenne, la France, La MICOPAX, le PNUD, le Bureau de l’Organisation des Nations-Unies en Centrafrique, le gouvernement et les représentants des groupes armés ont pris part à cette réunion, qui devait statuer sur les critères d’éligibilité et du statut du combattant, les listes de combattants et de leur armement, l'emplacement des combattants et les points de rassemblement, la sécurisation des points de rassemblement, le contrôle du désarmement, l'élaboration et l'adoption du chronogramme.
Le processus de paix en RCA avait été amorcé avec l’accord global de paix signé à Libreville le 21 juin dernier, qui avait permis la tenue du dialogue politique inclusif du 5 au 20 décembre à Bangui, réunissant le pouvoir, l’opposition, les rebelles et la société civile autour du défi de la stabilisation politique et de la relance du développement.
Sous la présidence du représentant résident du Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), Steven Ursino, ces travaux de deux jours ont permis aux participants de s’entendre sur le lancement du premier volet du programme, consacré l’identification et au recensement des ex-combattants dans les zones concernées.
«C’est un processus qui doit bien cibler les groupes politico-militaires et ensemble, nous allons procéder à la mise en œuvre de toutes les étapes nécessaires pour que ce programme DDR soit un succès total», a déclaré Steven Ursino à la clôture des assises.
Jean Jacques Démafouth, premier vice-président du Comité du pilotage et représentant des groupes rebelles, a réitéré la volonté de la partie qu’il représente d’œuvrer pour la pacification durable du pays en vue de la relance des activités développement.
«Nous souhaitons que ce programme DDR puisse être l’occasion ultime pour permettre à notre pays de panser les plaies du passé et de s’occuper des combattants, de les former afin de les reconvertir vers des métiers», a expliqué l’ancien chef rebelle.
Le 2e vice-président du Comité du pilotage, le ministre d’Etat Cyriaque Gonda, a salué le bon déroulement des assises et le soutien de la communauté internationale au processus de paix en RCA.
«Nous sommes en train d’assister à l’écriture de l’histoire de notre pays, parce que les choses sont en train d’avancer vers la pacification de notre pays et le peuple se retourne vers sa préoccupation de développement», a salué le ministre d’Etat Cyriaque Gonda.
«Nous sommes en train de nous réorienter vers la pacification des provinces afin de leur donner l’opportunité de pouvoir rétablir l’autorité de l’Etat et travailler pour le développement de notre pays», a conclu le ministre d’Etat centrafricain, représentant du pouvoir.
La Banque Mondiale, la Commission Européenne, la France, La MICOPAX, le PNUD, le Bureau de l’Organisation des Nations-Unies en Centrafrique, le gouvernement et les représentants des groupes armés ont pris part à cette réunion, qui devait statuer sur les critères d’éligibilité et du statut du combattant, les listes de combattants et de leur armement, l'emplacement des combattants et les points de rassemblement, la sécurisation des points de rassemblement, le contrôle du désarmement, l'élaboration et l'adoption du chronogramme.
Le processus de paix en RCA avait été amorcé avec l’accord global de paix signé à Libreville le 21 juin dernier, qui avait permis la tenue du dialogue politique inclusif du 5 au 20 décembre à Bangui, réunissant le pouvoir, l’opposition, les rebelles et la société civile autour du défi de la stabilisation politique et de la relance du développement.