Vu les violations des dispositions des articles relatifs à la déclaration universelle des droits de l´homme ratifiée par la République Centrafricaine:
Article 3 : Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Article 5 : Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Article 9 : Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.
Au regard d’une spirale de violences en République Centrafricaine, le collectif« Touche pas à ma Constitution », défenseur des droits de
l´homme, dénonce avec grande énergie les différents actes de barbaries humaines commis par les éléments de l’ex-rébellion Séléka depuis leur prise de pouvoir par les armes.
En outre, la République vient d’être touchée par l’assassinat d’un Haut Magistrat en la personne de Modeste BRIA et son aide de camp sans omettre les compatriotes qui sont tombés sous le coup de feu des armes des ennemis de la Nation Centrafricaine.
Le collectif prend d’ores et déjà la communauté nationale et internationale à témoin pour les atteintes flagrantes des droits de l’homme commises durant cette période de transition et s’interroge sur le silence profond des hommes politiques Centrafricains ainsi que celui du Gouvernement de Maître Nicolas TIANGAYE et des institutions de la Transition face à une montée en puissance des actes de criminalité commis par les éléments de l’ex- rébellion Séléka.
Le collectif reste toujours mobiliser pour poursuivre la bataille de la défense des droits fondamentaux et adresse ses vives condoléances à la famille BRIA et aux autres victimes.
Fait à Paris, 18/11/2013
Pour le collectif, son Représentant de France,
Godfroy- Luther GONDJE- DJANAYANG
Article 3 : Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Article 5 : Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Article 9 : Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.
Au regard d’une spirale de violences en République Centrafricaine, le collectif« Touche pas à ma Constitution », défenseur des droits de
l´homme, dénonce avec grande énergie les différents actes de barbaries humaines commis par les éléments de l’ex-rébellion Séléka depuis leur prise de pouvoir par les armes.
En outre, la République vient d’être touchée par l’assassinat d’un Haut Magistrat en la personne de Modeste BRIA et son aide de camp sans omettre les compatriotes qui sont tombés sous le coup de feu des armes des ennemis de la Nation Centrafricaine.
Le collectif prend d’ores et déjà la communauté nationale et internationale à témoin pour les atteintes flagrantes des droits de l’homme commises durant cette période de transition et s’interroge sur le silence profond des hommes politiques Centrafricains ainsi que celui du Gouvernement de Maître Nicolas TIANGAYE et des institutions de la Transition face à une montée en puissance des actes de criminalité commis par les éléments de l’ex- rébellion Séléka.
Le collectif reste toujours mobiliser pour poursuivre la bataille de la défense des droits fondamentaux et adresse ses vives condoléances à la famille BRIA et aux autres victimes.
Fait à Paris, 18/11/2013
Pour le collectif, son Représentant de France,
Godfroy- Luther GONDJE- DJANAYANG