Bangui - Le ministère centrafricain de la Défense a condamné hier dans un communiqué de presse, l’attaque de la base militaire et de la Maison d’arrêt de Bossembélé à 160 km à la sortie ouest de Bangui, par un groupe d’assaillants non identifiés, dans la nuit du 12 au 13 février dernier.
«Il s’agit, à n’en point douter, d’une agression destinée à compromettre les efforts que le gouvernement déploie sans cesse depuis quelques années afin de réaliser de vaste programme de la Reforme du Secteur Sécuritaire (RSS) pour laquelle une mission d’experts internationaux séjourne depuis plusieurs semaines à Bangui afin d’en évaluer le progrès », affirme le communiqué.
Par ailleurs, « les Forces Armées Centrafricaines ont immédiatement répliqué, mettant en déroute les assaillants. A l’heure qu’il est, les Forces Armées Centrafricaines (Faca) contrôlent l’ensemble de la situation », précise le communiqué.
Le ministère de la Défense déplore « cet acte odieux qui intervient à un moment où les Centrafricains ont unanimement pris la résolution, au sortir du Dialogue Politique Inclusif (DPI) de mettre définitivement un terme à leurs différends et de restaurer un véritable climat de paix et de sérénité dans le pays ».
Par ailleurs le département de la Défense demande à la population de Bossembélé et des environs de garder le calme et de vaquer librement à ses occupations quotidiennes.
Il convient de préciser que dans la nuit du 12 au 13 février 2009, un groupe d’assaillants non identifiés a attaqué simultanément la base militaire et la Maison d’Arrêt de Bossembélé où ils ont libéré des détenus parmis lesquels figurent 16 soudanais, souvent des militaires indisciplinés.
«Il s’agit, à n’en point douter, d’une agression destinée à compromettre les efforts que le gouvernement déploie sans cesse depuis quelques années afin de réaliser de vaste programme de la Reforme du Secteur Sécuritaire (RSS) pour laquelle une mission d’experts internationaux séjourne depuis plusieurs semaines à Bangui afin d’en évaluer le progrès », affirme le communiqué.
Par ailleurs, « les Forces Armées Centrafricaines ont immédiatement répliqué, mettant en déroute les assaillants. A l’heure qu’il est, les Forces Armées Centrafricaines (Faca) contrôlent l’ensemble de la situation », précise le communiqué.
Le ministère de la Défense déplore « cet acte odieux qui intervient à un moment où les Centrafricains ont unanimement pris la résolution, au sortir du Dialogue Politique Inclusif (DPI) de mettre définitivement un terme à leurs différends et de restaurer un véritable climat de paix et de sérénité dans le pays ».
Par ailleurs le département de la Défense demande à la population de Bossembélé et des environs de garder le calme et de vaquer librement à ses occupations quotidiennes.
Il convient de préciser que dans la nuit du 12 au 13 février 2009, un groupe d’assaillants non identifiés a attaqué simultanément la base militaire et la Maison d’Arrêt de Bossembélé où ils ont libéré des détenus parmis lesquels figurent 16 soudanais, souvent des militaires indisciplinés.