Le leader des FRD lance depuis Paris un appel à ses "frères centrafricains, Anti-Balles AK et Séléka à déposer immédiatement les armes". Pour lui, "Djotodia est entrain de monter un plan diabolique pour la partition du pays". Et d'ajouter que "le seul malheur de la République centrafricaine est Bozizé".
Selon lui, « des armes sont acheminés depuis le Soudan et l'Ouganda. Bozizé rêve de redevenir Président de la République. »
Ndjadder demande à Bozizé de reconnaitre ses crimes, de demander pardon aux centrafricains et d'accepte que la communauté internationale mette la main sur lui afin qu'il soit acheminé vers la CPI.
S'agissant du bilan de la Présidence de la Transition, le leader des FRD juge qu'il est encore trop tôt. « J'ai eu à discuter avec la Présidente quand elle est venue à Paris dernièrement. Je lui ai dit clairement qu'il faut arrêter avec le même cinéma c'est-a-dire une fois arrivé au pouvoir, amener ses amis, familles, copains, copines. Il y a des centrafricains de la diaspora qui peuvent relever le défi », précise François Nelson Ndjadder. Il ajoute que « la Présidente ne doit pas rester derrière son bureau du Palais Présidentiel mais être constamment sur le terrain. »
Evoquant le retrait de l'armée tchadienne, le leader des FRD le regrette mais déplore également sa partialité.
« Je regrette le retrait de l'armée tchadienne parceque le Tchad n'est pas venu en Centrafrique de lui même, mais sous le mandat de l'ONU, de l'UA de la CEEAC qui lui ont demandé d'intervenir. Les forces tchadiennes ne devaient pas prendre la part de la communauté musulmane », évoque François Nelson Ndjadder.
Selon lui, « des armes sont acheminés depuis le Soudan et l'Ouganda. Bozizé rêve de redevenir Président de la République. »
Ndjadder demande à Bozizé de reconnaitre ses crimes, de demander pardon aux centrafricains et d'accepte que la communauté internationale mette la main sur lui afin qu'il soit acheminé vers la CPI.
S'agissant du bilan de la Présidence de la Transition, le leader des FRD juge qu'il est encore trop tôt. « J'ai eu à discuter avec la Présidente quand elle est venue à Paris dernièrement. Je lui ai dit clairement qu'il faut arrêter avec le même cinéma c'est-a-dire une fois arrivé au pouvoir, amener ses amis, familles, copains, copines. Il y a des centrafricains de la diaspora qui peuvent relever le défi », précise François Nelson Ndjadder. Il ajoute que « la Présidente ne doit pas rester derrière son bureau du Palais Présidentiel mais être constamment sur le terrain. »
Evoquant le retrait de l'armée tchadienne, le leader des FRD le regrette mais déplore également sa partialité.
« Je regrette le retrait de l'armée tchadienne parceque le Tchad n'est pas venu en Centrafrique de lui même, mais sous le mandat de l'ONU, de l'UA de la CEEAC qui lui ont demandé d'intervenir. Les forces tchadiennes ne devaient pas prendre la part de la communauté musulmane », évoque François Nelson Ndjadder.